Le soleil couvre d’une couleur de bronze une terre d’accueil mère de multiples civilisations
Tu vois s’étendre en chaque région de ton littorale à ton désert d’innombrables traditions
Les vestiges qui ornent tes pleines prouvent encore l’étendu de ton histoire
De la préhistoire à l’Algérie française un parcours quelques foi triste mais tellement beau à voire
Que bien des peuples voyaient en toi une terre d’espérance douce à l’homme libre
Et ceux qui ton un jour quitter, dans le silence de leurs remords peuvent-ils encore vivre ?
Tant de nations ont tenté de mettre leur ombre sur tes joies mais à cet instant…
Des fidèles aux cœurs de lions ont donné leurs vies pour te mettre à l’abri de ce vent
Par amour des rosées fraiches de tes matins de printemps quand on s’éveille au chant des oiseaux
Par amour de ses reflets d’or rougeâtre que le désert prête à tes montagnes en tes douces saisons
Par amour des marchés de ta provenance aux senteurs d’épices et de miel ou on reconnait le parfum de notre enfance
Par simple amour de ce pays paisible sous ses oliviers dont rien ne tuera en moi l’éternelle présence
Tu vois s’étendre en chaque région de ton littorale à ton désert d’innombrables traditions
Les vestiges qui ornent tes pleines prouvent encore l’étendu de ton histoire
De la préhistoire à l’Algérie française un parcours quelques foi triste mais tellement beau à voire
Que bien des peuples voyaient en toi une terre d’espérance douce à l’homme libre
Et ceux qui ton un jour quitter, dans le silence de leurs remords peuvent-ils encore vivre ?
Tant de nations ont tenté de mettre leur ombre sur tes joies mais à cet instant…
Des fidèles aux cœurs de lions ont donné leurs vies pour te mettre à l’abri de ce vent
Par amour des rosées fraiches de tes matins de printemps quand on s’éveille au chant des oiseaux
Par amour de ses reflets d’or rougeâtre que le désert prête à tes montagnes en tes douces saisons
Par amour des marchés de ta provenance aux senteurs d’épices et de miel ou on reconnait le parfum de notre enfance
Par simple amour de ce pays paisible sous ses oliviers dont rien ne tuera en moi l’éternelle présence
