Alanguie sur son lit, cigarette à la main,
Le visage nimbé de volutes opiacées
Madame doucement glisse dans la volupté
Le corps tout parfumé d’onguents et de benjoin.
Par la fenêtre ouverte d’où l’on entend au loin
Pépiements et ramages d’oiseaux chamarrés
La moiteur enivrante de cette fin d’été
Envahit notre belle qui rêve de câlins...
D’une main négligemment posé sur un sein
Entre ses doigts agiles son téton fait rouler
Et tout en exhalant cette fumée bleutée
Commencent à frémir jolies lèvres carmin.
De petits tremblements tout son corps opalin
Est soudain envahit, elle est toute excitée…
Alors les yeux mi-clos et le sexe exhibé
Madame lentement ondule du bassin.
Là, d’une main experte se caressant les reins
Quand l’autre lentement saisit un godemiché
Le glisse lentement vers le sexe épilé
Où commencent alors d’incessants va-et-vient.
Et là devant ses yeux se présentent soudain
Deux cohortes d’éphèbes et de blacks bien membrés
Venues d’on ne sait où Mais ma foi décidées
A satisfaire Madame jusqu’au petit matin.
Par des assauts multiples, à deux à trois ou cinq
La belle en redemande et jusqu’à satiété
Elle enfourche elle embouche les vits à sa portée
Elle belle princesse eux vaillant suzerains.
Cette épique bataille qu’elle mène haut la main
Face aux multiples assauts des valeureux guerriers
Laisse notre princesse enfin rassasiée
Qui sombre alors dans les bras de Morphée. Enfin !
« Il est exactement sept heures ce matin ! »
Maudit radio-réveil ! Encore ensommeillée
Madame jure alors, revivant sa nuitée :
Promis ce soir ma belle, encore un petit joint !!!
Le visage nimbé de volutes opiacées
Madame doucement glisse dans la volupté
Le corps tout parfumé d’onguents et de benjoin.
Par la fenêtre ouverte d’où l’on entend au loin
Pépiements et ramages d’oiseaux chamarrés
La moiteur enivrante de cette fin d’été
Envahit notre belle qui rêve de câlins...
D’une main négligemment posé sur un sein
Entre ses doigts agiles son téton fait rouler
Et tout en exhalant cette fumée bleutée
Commencent à frémir jolies lèvres carmin.
De petits tremblements tout son corps opalin
Est soudain envahit, elle est toute excitée…
Alors les yeux mi-clos et le sexe exhibé
Madame lentement ondule du bassin.
Là, d’une main experte se caressant les reins
Quand l’autre lentement saisit un godemiché
Le glisse lentement vers le sexe épilé
Où commencent alors d’incessants va-et-vient.
Et là devant ses yeux se présentent soudain
Deux cohortes d’éphèbes et de blacks bien membrés
Venues d’on ne sait où Mais ma foi décidées
A satisfaire Madame jusqu’au petit matin.
Par des assauts multiples, à deux à trois ou cinq
La belle en redemande et jusqu’à satiété
Elle enfourche elle embouche les vits à sa portée
Elle belle princesse eux vaillant suzerains.
Cette épique bataille qu’elle mène haut la main
Face aux multiples assauts des valeureux guerriers
Laisse notre princesse enfin rassasiée
Qui sombre alors dans les bras de Morphée. Enfin !
« Il est exactement sept heures ce matin ! »
Maudit radio-réveil ! Encore ensommeillée
Madame jure alors, revivant sa nuitée :
Promis ce soir ma belle, encore un petit joint !!!