Ainsi va notre vie, car tout change ici bas
Même ce que pourtant nous n’imaginions pas
Passent passent les années, à un rythme effrayant
Le futur tout d’un coup se transforme en présent
Et le présent, soudain, n’est plus qu’un souvenir
L’important dans tout ça c’est de pouvoir en rire
Hier soir, il me semble, je me suis endormie
Aux côtés de mes sœurs, en parfaite harmonie
Nous partagions nos joies, et quelques fois nos peurs
Nous étions en famille, et c’était le bonheur
Ce bonheur innocent que possèdent les enfants
Nos rêves n’étaient pas les mêmes évidemment
Nous étions très unis, mais tellement différents
Le point commun de tous, c’était notre maman
L’amour personnifié, les baisers, la tendresse
Celle qui nous disait que nous étions princesses
Toujours aux petits soins, nous chantant ses refrains
Dernière couchée le soir, debout tôt le matin
Tout ça c’était hier, et voilà que je suis
A mon tour une mère. Et mes sœurs aussi
Tourne tourne l’horloge, elle n’arrête jamais
Les verbes se déforment, j’aime et puis j’aimais
Et j’aimerai peut-être, en fait je ne sais pas
Tout va beaucoup trop vite, nous risquons les faux-pas
La vie donne des offrandes et parfois les reprend
Et l’on ne sait d’avance ni pourquoi ni comment
Eviter les écueils qui bordent notre chemin
Apprécier chaque jour, savoir donner la main
Ecouter, regarder les autres au fond des yeux
Ouvrir un peu son cœur et les rendre plus heureux
La vie est ainsi faite, nous sommes tous mortels
C’est ce qui fait son charme, elle n’est pas éternelle
Il faut d’autant l’aimer, l’apprécier chaque jour
Profiter chaque instant, n’avoir que de l’amour
A offrir en partage, mais tout en s’écoutant
Car la clé de voûte c’est aimer tout en s’aimant
Même ce que pourtant nous n’imaginions pas
Passent passent les années, à un rythme effrayant
Le futur tout d’un coup se transforme en présent
Et le présent, soudain, n’est plus qu’un souvenir
L’important dans tout ça c’est de pouvoir en rire
Hier soir, il me semble, je me suis endormie
Aux côtés de mes sœurs, en parfaite harmonie
Nous partagions nos joies, et quelques fois nos peurs
Nous étions en famille, et c’était le bonheur
Ce bonheur innocent que possèdent les enfants
Nos rêves n’étaient pas les mêmes évidemment
Nous étions très unis, mais tellement différents
Le point commun de tous, c’était notre maman
L’amour personnifié, les baisers, la tendresse
Celle qui nous disait que nous étions princesses
Toujours aux petits soins, nous chantant ses refrains
Dernière couchée le soir, debout tôt le matin
Tout ça c’était hier, et voilà que je suis
A mon tour une mère. Et mes sœurs aussi
Tourne tourne l’horloge, elle n’arrête jamais
Les verbes se déforment, j’aime et puis j’aimais
Et j’aimerai peut-être, en fait je ne sais pas
Tout va beaucoup trop vite, nous risquons les faux-pas
La vie donne des offrandes et parfois les reprend
Et l’on ne sait d’avance ni pourquoi ni comment
Eviter les écueils qui bordent notre chemin
Apprécier chaque jour, savoir donner la main
Ecouter, regarder les autres au fond des yeux
Ouvrir un peu son cœur et les rendre plus heureux
La vie est ainsi faite, nous sommes tous mortels
C’est ce qui fait son charme, elle n’est pas éternelle
Il faut d’autant l’aimer, l’apprécier chaque jour
Profiter chaque instant, n’avoir que de l’amour
A offrir en partage, mais tout en s’écoutant
Car la clé de voûte c’est aimer tout en s’aimant