Le voilà le doux soleil qui réchauffe les os et les âmes glacées... Il se lève sur ton rêve comme sur un nouveau rivage. Et Toi, éveillé malgré ta pâleur, tu lèves tes doux yeux vers ce ciel immense, cet espace inconnu qui te semble si vide, si terrifiant.
Rien de Toi ne peut prendre de cette chaleur vitale, de ce besoin de vivre.
Tu es déjà mort au fond...je n'aie plus rien à perdre si ce n'est mon âme.
L'hivers s'éloigne, ton corps est à mes cotés.... Mais Toi , où es tu ?
Rien de Toi ne peut prendre de cette chaleur vitale, de ce besoin de vivre.
Tu es déjà mort au fond...je n'aie plus rien à perdre si ce n'est mon âme.
L'hivers s'éloigne, ton corps est à mes cotés.... Mais Toi , où es tu ?