Je ne veux dans tes yeux que les ténèbres voir,
Respirer en tes seins l’écume de la fin.
Tout un monde grotesque qui mugit dans le noir
Et dont tu ponds les immondices et les catins.
Et si l’obscurité ne peut la lumière vaincre,
Entre tes jambes elle vie accroché comme un pou,
Suçant de tes horreurs les plus viles aspects
Et respirant le blâme dans tes crins de sang.
Tout ruisselle de ton cœur comme d’une noir fontaine
Et l’amas étourdis qui précède tes pas,
Se répand sous les lits et dans les noirs peines,
Pourrissant des douleurs les plus beaux des appâts.
Ton corps tout entier est de ces germes fanés
Qui pourrissent avant même de n’avoir pu naitre,
Ainsi tu enfante les crasses avortées
Que ton ventre maladif aura su inventer.
Indicibles horreur, incarnation du vice,
Tu chemine latente, toi et ta vil souffrance,
Souillant de tes regards la plus grande bonté,
Creusant dans ton sillage les tombes de tes fils...
Respirer en tes seins l’écume de la fin.
Tout un monde grotesque qui mugit dans le noir
Et dont tu ponds les immondices et les catins.
Et si l’obscurité ne peut la lumière vaincre,
Entre tes jambes elle vie accroché comme un pou,
Suçant de tes horreurs les plus viles aspects
Et respirant le blâme dans tes crins de sang.
Tout ruisselle de ton cœur comme d’une noir fontaine
Et l’amas étourdis qui précède tes pas,
Se répand sous les lits et dans les noirs peines,
Pourrissant des douleurs les plus beaux des appâts.
Ton corps tout entier est de ces germes fanés
Qui pourrissent avant même de n’avoir pu naitre,
Ainsi tu enfante les crasses avortées
Que ton ventre maladif aura su inventer.
Indicibles horreur, incarnation du vice,
Tu chemine latente, toi et ta vil souffrance,
Souillant de tes regards la plus grande bonté,
Creusant dans ton sillage les tombes de tes fils...