A TOUTES LES FEMMES QUE TU AS AIMEES !
Je marche seule au bord de l’océan,
Et je songe à toutes ces filles d’antan,
Que tu as aimées le temps de tes vertes années,
Que reste-t-il de toutes ces dulcinées.
Y penses-tu encore, les as-tu toutes oubliées,
Toutes ces filles d’autrefois,
Qui sont devenues femmes aux abois…
Non, une seule est gravée dans ta mémoire,
Comme une photo gisant dans un tiroir,
Faut dire qu’elle avait tout pour plaire,
Toutes ces filles qui ne manquaient pas d’air.
Avec leurs yeux couleur aquarelle,
Leurs cheveux dorés presque irréels,
Avec leurs seins bien galbés,
Dissimulés sous un décolleté.
Des hauts talons habillaient leurs pieds menus,
Leurs cils, elle les soulignaient d’un trait menu,
Leurs tailles de guêpe te faisaient craquer.
Leurs doigts fuselés jouaient avec dextérité,
Des sonates de Brahms au piano,
Ainsi que leurs cuisses en fuseau,
En fuseau vêtue d’une jupe fendue,
Imaginant des histoires défendues,
Où se dessinaient des fesses callipyges,
Leur nez mutin symbolisait leur bonté.
Sans doute l’avait-t-il beaucoup aimée !
De quoi être jalouse, le puis-je !
Je marche seule au bord de l’océan,
Et je songe à toutes ces filles d’antan,
Que tu as aimées le temps de tes vertes années,
Que reste-t-il de toutes ces dulcinées.
Y penses-tu encore, les as-tu toutes oubliées,
Toutes ces filles d’autrefois,
Qui sont devenues femmes aux abois…
Non, une seule est gravée dans ta mémoire,
Comme une photo gisant dans un tiroir,
Faut dire qu’elle avait tout pour plaire,
Toutes ces filles qui ne manquaient pas d’air.
Avec leurs yeux couleur aquarelle,
Leurs cheveux dorés presque irréels,
Avec leurs seins bien galbés,
Dissimulés sous un décolleté.
Des hauts talons habillaient leurs pieds menus,
Leurs cils, elle les soulignaient d’un trait menu,
Leurs tailles de guêpe te faisaient craquer.
Leurs doigts fuselés jouaient avec dextérité,
Des sonates de Brahms au piano,
Ainsi que leurs cuisses en fuseau,
En fuseau vêtue d’une jupe fendue,
Imaginant des histoires défendues,
Où se dessinaient des fesses callipyges,
Leur nez mutin symbolisait leur bonté.
Sans doute l’avait-t-il beaucoup aimée !
De quoi être jalouse, le puis-je !