Je t’ai vu naitre dans ses bras,
Elle t’a crée et en est fière,
Malgré que tu n’as de père,
Elle croit en toi.
Tu es né en secret,
Car sa famille vous a reniés,
Que tu vives heureux est son souhait,
Car tu es son héritier.
Tu avais un père,
Il semblait si aimant,
Mais quand il a apprit qu’elle deviendrait mère,
Il est partit en courant.
Seule, elle n’eu plus le choix,
A ma famille, elle confessa,
En eux, elle avait eu foi,
Mais, elle a eu tord, encore une fois.
Au début, ce fut la morale,
Puis, la décision capitale,
Ses parents outrés,
Lui demandèrent d’avorter.
Ils lui demandèrent de te tuer…
Avec audace, elle refusa,
Et cette nuit là, elle s’enfuyait,
Avec toi, elle se cacha.
Grâce à l’amitié indestructible,
D’une amie, très utile,
Elle l’aida et la cacha,
Pendant ces quelques mois.
Puis, enfin, tu vins au monde,
Telle une route longue,
Tu étais enfin né,
Tu étais sa moitié.
Elle tout fait pour t’offrir,
Le meilleur des avenirs,
Car, il lui suffisait d’un de tes sourires,
Pour voir tout le malheur du monde fuir.
Toi, son fils sache qu’elle t’aime,
Plus que tout ce qui existe,
Bien qu’elle ne soit pas reine,
Tu es le prince de son mythe.
Et bien que né d’un père indigne,
Toi, tu continueras toujours la ligne,
Tu n’es pas parfait,
C’est normal personne ne l’est.
Alors ai confiance,
Et avance.
Elle t’a crée et en est fière,
Malgré que tu n’as de père,
Elle croit en toi.
Tu es né en secret,
Car sa famille vous a reniés,
Que tu vives heureux est son souhait,
Car tu es son héritier.
Tu avais un père,
Il semblait si aimant,
Mais quand il a apprit qu’elle deviendrait mère,
Il est partit en courant.
Seule, elle n’eu plus le choix,
A ma famille, elle confessa,
En eux, elle avait eu foi,
Mais, elle a eu tord, encore une fois.
Au début, ce fut la morale,
Puis, la décision capitale,
Ses parents outrés,
Lui demandèrent d’avorter.
Ils lui demandèrent de te tuer…
Avec audace, elle refusa,
Et cette nuit là, elle s’enfuyait,
Avec toi, elle se cacha.
Grâce à l’amitié indestructible,
D’une amie, très utile,
Elle l’aida et la cacha,
Pendant ces quelques mois.
Puis, enfin, tu vins au monde,
Telle une route longue,
Tu étais enfin né,
Tu étais sa moitié.
Elle tout fait pour t’offrir,
Le meilleur des avenirs,
Car, il lui suffisait d’un de tes sourires,
Pour voir tout le malheur du monde fuir.
Toi, son fils sache qu’elle t’aime,
Plus que tout ce qui existe,
Bien qu’elle ne soit pas reine,
Tu es le prince de son mythe.
Et bien que né d’un père indigne,
Toi, tu continueras toujours la ligne,
Tu n’es pas parfait,
C’est normal personne ne l’est.
Alors ai confiance,
Et avance.