A toi mon playboy
Au petit matin, j’ai rêvée de toi
D’un câlin …
D’un coup de baguette magique
Le rêve n’en fut que plus érotique
Tu étais allongé, un drap recouvrait ton corps à moitié dénudé
Je pouvais entendre ton souffle saccadé
Je me suis rapprochée de toi…
T’ai caressé du regard, puis de mes doigts experts
Pour te faire glisser doucement vers l’enfer (ou le paradis)
Sous les multitudes caresses
Une bosse sous le drap, en effet, tel Antonio
Tu es monté au galop
Me laissant ensorcelée
Par ton gourdin du plus bel effet
Ma bouche fut attirée
Avec beaucoup de douceur
Mes lèvres pulpeuses
L’entourèrent de délicatesse et de candeur
Soudain… le cri du vainqueur
Et un grand bonheur