Suis-je sotte ou bravache,
Quatre jours, sans te voir,
Envahie de désespoir,
Je scrute la rue, dans le noir.
Tu es si fort, dans mes pensées,
Que je peux y dessiner,
Le pli rebelle de tes cheveux,
Ou ton sourire malicieux.
Ces longs jours passés, sans toi,
C’est, comme si, j’existais pas.
Je ne vis plus que pour toi,
Guettant le bruit de ton pas.
Tu arriveras, la nuit,
Te glissant, au lit, sans bruit,
Caressant mon corps abandonné,
De tes lèvres, tant aimées.
Reve51
Quatre jours, sans te voir,
Envahie de désespoir,
Je scrute la rue, dans le noir.
Tu es si fort, dans mes pensées,
Que je peux y dessiner,
Le pli rebelle de tes cheveux,
Ou ton sourire malicieux.
Ces longs jours passés, sans toi,
C’est, comme si, j’existais pas.
Je ne vis plus que pour toi,
Guettant le bruit de ton pas.
Tu arriveras, la nuit,
Te glissant, au lit, sans bruit,
Caressant mon corps abandonné,
De tes lèvres, tant aimées.
Reve51