De quel droit crois-tu pouvoir poser tes mains sur leurs corps d'enfants ?
Sale pervers, dégueulasse et méchant.
Par ta faute, leurs enfances n'a plus jamais rimer avec innocence
Et encore moins insouciance,
Dans leurs coeurs, toujours la peur que tu recommences.
Repliées sur elles-mêmes, enchaînées par le silence.
Mais à quoi pensais-tu en les salissant ?
A quoi pensais-tu en brisant la vie de tes propres enfants ?
Les terrorisant de ton corps menaçant.
T'es-tu un jour senti malade ?
As-tu pensé à elles qui se sentaient coupables ?
Alors qu'il n'y a que toi de condamnable.
Plus jamais je ne te parlerai,
Plus jamais tu n'auras mon respect.
Je te déteste, je te hais.
Tu mérites tellement de crever,
Quel malheur que je ne puisse te tuer.
Cloé.
Août 2006.
Sale pervers, dégueulasse et méchant.
Par ta faute, leurs enfances n'a plus jamais rimer avec innocence
Et encore moins insouciance,
Dans leurs coeurs, toujours la peur que tu recommences.
Repliées sur elles-mêmes, enchaînées par le silence.
Mais à quoi pensais-tu en les salissant ?
A quoi pensais-tu en brisant la vie de tes propres enfants ?
Les terrorisant de ton corps menaçant.
T'es-tu un jour senti malade ?
As-tu pensé à elles qui se sentaient coupables ?
Alors qu'il n'y a que toi de condamnable.
Plus jamais je ne te parlerai,
Plus jamais tu n'auras mon respect.
Je te déteste, je te hais.
Tu mérites tellement de crever,
Quel malheur que je ne puisse te tuer.
Cloé.
Août 2006.