A cent !

[luron1er]

A cent !
D’après A vent de Lilalys

Drague en mon refrain et franchissant en diable,
D’abus, levant en désordre pour faits plus savoureux.
Belle note sous mon soleil, hommage vigoureux !
Petits râteaux copiés en ta cours, indispensable.

Nul comme un malabar sous ma douche pétulant,
Carambars, mistral gagnants ou sucettes en folies,
Friandise et pompon, suis-je bien poli ?
Mes plaisirs sont des francs souvenirs : Eclatant !

Le cas s’y mire tous les soirs en douce comédie,
Coq gaulois, rebonds des vers, dispose, chantant,
Sur ton coin de terre aux arômes distants,
Ho ! Lola, jouvencelle, tu louais mes parodies.

Serpentant au destin, l'histoire de nos temps,
Sur tes pages, fleurir les beaux reflets du cancre,
De fendre tes souvenirs m’apaise attaché à ton ancre,
Sourires pour un ciel bleu et en faire ton roman.​

 

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l'original :

A vent !

Vague de ton refrain rafraîchissant le sable,
Phœbus levant son orbe se fait plus langoureux.
Pianote ta pluie, ô nuage amoureux !
Petits bateaux papier sur cours d'eau, impensable ?

Bulles de Malabar sur la bouche éclatant ;
Caramba, cigarette et lèvres en folies,
Collier croque-bonbons, étions nous jolies ?
Ces plaisirs à un franc souvenir : épatant !

Nounours venant le soir : ô douce parodie !
Coquillages, si bons, en vers, prose, dansants
Sur notre coin de terre aux arômes d'encens,
Nicolas, Pimprenelle, jouaient sa mélodie.

Serpentins en dessin, l'histoire d'un longtemps ;
Sur ses pages, pâlir à leurs reflets sans encre,
Les tendres souvenirs naissent cherchant leur ancre
Mourir sous un ciel bleu, ferait-il un roman ?...

Lilasys​

 

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