Ô poète
Pour qui le temps s’arrête
Laisses ta fenêtre grande ouverte
Tu y trouveras ton salut et ton être
Quand le chagrin te noue le cœur
Quand il te manque le jour
Tes strophes t’excitent
Tu ne peux les retenir
Quand entre noir et blanc
Ta rigueur ratatine
L’envie assoiffée
Te rend l’instant comptant
Rappelles-toi toujours
Qu’il suffit de souffrir
Les affres et les remous
Envient ta rive apaisée…
Ô poète
Verses doucement tes vers
Remplis le vide
Chasse l’ennui….
Berraha H. (12-02-2010)
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