Ah ne croyez pas que l’on ne se marrait pas ! .
On ne manquait pas d’idées le matin on avait quartier libre dans le cachot.
Notre jeu favori consistait à capturer les bestioles qui crapahutaient dans la cave.
On avait là superbe réserve de cafards à portée de main.
Les rongeurs se méfiaient de nous je trouvais cela bizarre contrairement aux cafards bestioles stupides.
Oui mais avant je voulais vous parler des rats qui pollulaient près des grosses poubelles et bien je les trouvais sauvage par rapport à ceux de la campagne natale.
Je vais raconter une petite anecdote bien réelle ma façon de revenir dans mon pays au début des années soixante et de respirer un peu !.
Avec et ma mère et mon père nous nous sommes rendus au moulin chercher un peu de farine.
Chaque ferme ou presque avait son four à pain et mon père donnait sa récolte de blé à moudre au brave meunier du coin.
Et c’est là que j’ai vu je plus de rats de ma vie, Ils crépissaient les murs du moulin.
Même mon chat n’en reviendrait pas !.
Pour me rassurer le meunier en attrapa un par la queue l’animal n’a eu aucun mouvements de défense et il le balança dans le remblais en contrebas !.
Vous boirez bien un café je n’ai pas eu le temps de dire à mon père non ! non ! que le broyeur de grain dit à sa brave femme....
Prends le balai et fait sortir les bestioles de la pièce !.
Elle pénétra dans la salle à manger et à grands coups de manche elle fit sortir une bonne vingtaine de rongeurs bien portant.
Je me souviens d’avoir attendu les jambes levées, pour éviter le reste des rats qui avaient esquivé la sortie et qui circulaient sous la table.
Non mais tout cela pour vous dire que le rat est très intelligent et sociable comme un chat lorsqu’il vit en compagnie de l’homme.
Cette scène je ne l’ai jamais vu dans un film.
Cela le ramène à Biarritz impossible de choper un rat pour jouer avec lui, par contre les cafards étaient nos amis et insectes préférés.
On les remuait dans tous les sens avec nos petites menottes que l’on ne lavait jamais et bien vous n’allez pas me croire nous n’étions jamais malade !.
Nous avons inventé du moins on le croyait la course de cafards !.
Un jeu qui nous occupait et nous faisait rire aux éclats, vous me direz il faut peu de chose pour amuser les gosses... et c’est vrai !.
C’est quelques années plus tard en regardant un film culte que la télévision diffusait chaque année ou presque "les trois l’anciers du Bengale" que face à moi les acteurs prisonniers jouaient avec les cafards comme nous !.
Incroyable non ?.
On nous permettait aussi d’aller dans une arrière cour à l’abri des regards il y avait là une très vieille balançoire pas discrète elle grinçait très fort et le but de notre jeu était de monter à une hauteur vertigineuse à la limite du demi tour.
On nous amena à l’océan au moins deux ou trois fois il n’était qu’à deux cents mètres.
Nous avons eu l’autorisation de tremper nos pieds dans l’eau !.
Une autre fois mes potes et moi nous sommes tombés sur un rocher sur la plage couvert d’escargots, un copain nous a dit ils sont bons à manger et bien croyez-moi ils n’ont pas eu le temps de sortir les cornes !.
À plus tard pour la suite...Merci Maurice
On ne manquait pas d’idées le matin on avait quartier libre dans le cachot.
Notre jeu favori consistait à capturer les bestioles qui crapahutaient dans la cave.
On avait là superbe réserve de cafards à portée de main.
Les rongeurs se méfiaient de nous je trouvais cela bizarre contrairement aux cafards bestioles stupides.
Oui mais avant je voulais vous parler des rats qui pollulaient près des grosses poubelles et bien je les trouvais sauvage par rapport à ceux de la campagne natale.
Je vais raconter une petite anecdote bien réelle ma façon de revenir dans mon pays au début des années soixante et de respirer un peu !.
Avec et ma mère et mon père nous nous sommes rendus au moulin chercher un peu de farine.
Chaque ferme ou presque avait son four à pain et mon père donnait sa récolte de blé à moudre au brave meunier du coin.
Et c’est là que j’ai vu je plus de rats de ma vie, Ils crépissaient les murs du moulin.
Même mon chat n’en reviendrait pas !.
Pour me rassurer le meunier en attrapa un par la queue l’animal n’a eu aucun mouvements de défense et il le balança dans le remblais en contrebas !.
Vous boirez bien un café je n’ai pas eu le temps de dire à mon père non ! non ! que le broyeur de grain dit à sa brave femme....
Prends le balai et fait sortir les bestioles de la pièce !.
Elle pénétra dans la salle à manger et à grands coups de manche elle fit sortir une bonne vingtaine de rongeurs bien portant.
Je me souviens d’avoir attendu les jambes levées, pour éviter le reste des rats qui avaient esquivé la sortie et qui circulaient sous la table.
Non mais tout cela pour vous dire que le rat est très intelligent et sociable comme un chat lorsqu’il vit en compagnie de l’homme.
Cette scène je ne l’ai jamais vu dans un film.
Cela le ramène à Biarritz impossible de choper un rat pour jouer avec lui, par contre les cafards étaient nos amis et insectes préférés.
On les remuait dans tous les sens avec nos petites menottes que l’on ne lavait jamais et bien vous n’allez pas me croire nous n’étions jamais malade !.
Nous avons inventé du moins on le croyait la course de cafards !.
Un jeu qui nous occupait et nous faisait rire aux éclats, vous me direz il faut peu de chose pour amuser les gosses... et c’est vrai !.
C’est quelques années plus tard en regardant un film culte que la télévision diffusait chaque année ou presque "les trois l’anciers du Bengale" que face à moi les acteurs prisonniers jouaient avec les cafards comme nous !.
Incroyable non ?.
On nous permettait aussi d’aller dans une arrière cour à l’abri des regards il y avait là une très vieille balançoire pas discrète elle grinçait très fort et le but de notre jeu était de monter à une hauteur vertigineuse à la limite du demi tour.
On nous amena à l’océan au moins deux ou trois fois il n’était qu’à deux cents mètres.
Nous avons eu l’autorisation de tremper nos pieds dans l’eau !.
Une autre fois mes potes et moi nous sommes tombés sur un rocher sur la plage couvert d’escargots, un copain nous a dit ils sont bons à manger et bien croyez-moi ils n’ont pas eu le temps de sortir les cornes !.
À plus tard pour la suite...Merci Maurice
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