C’était un jour du mois de Mai,
Quand elle t’a rencontré,
Elle était seule, elle était triste,
Et tu l’as consolé,
Elle rêver de bonheur,
Abandonnée,
Elle voulait trouvée l’âme sœur,
Et elle t’a rencontré.
Tu étais grand et tes bras chaud,
Tu étais son rêve le plus beau.
Tu faisais d’elle une reine,
Elle était comblée,
Elle oubliée sa haine,
Et ne demandait qu’à t’aimer.
Mais un jour sans prévenir,
T’es parti sans rien dire,
Elle était naïve,
Elle croyait que tu reviendrais,
Mais tu n’es jamais revenu.
Seule dans sa douleur,
Elle ne comprenait pas,
Pourquoi l’homme qui l’aimait,
L’avais laissé là.
Un matin on l'a trouvé,
Seule,
Des entailles au poignet,
Et le cœur brisé,
Une lame dans la main gauche,
Et une lettre sur la table,
Des yeux désespérés,
Du sang le long du bras,
Et un ‘‘Je t’aime’’ sur les lèvres,
Que tu ne mérite pas.
Quand elle t’a rencontré,
Elle était seule, elle était triste,
Et tu l’as consolé,
Elle rêver de bonheur,
Abandonnée,
Elle voulait trouvée l’âme sœur,
Et elle t’a rencontré.
Tu étais grand et tes bras chaud,
Tu étais son rêve le plus beau.
Tu faisais d’elle une reine,
Elle était comblée,
Elle oubliée sa haine,
Et ne demandait qu’à t’aimer.
Mais un jour sans prévenir,
T’es parti sans rien dire,
Elle était naïve,
Elle croyait que tu reviendrais,
Mais tu n’es jamais revenu.
Seule dans sa douleur,
Elle ne comprenait pas,
Pourquoi l’homme qui l’aimait,
L’avais laissé là.
Un matin on l'a trouvé,
Seule,
Des entailles au poignet,
Et le cœur brisé,
Une lame dans la main gauche,
Et une lettre sur la table,
Des yeux désespérés,
Du sang le long du bras,
Et un ‘‘Je t’aime’’ sur les lèvres,
Que tu ne mérite pas.