Souvent lorsque s’arrête les lumières artificielles
De nos villes dites modernes ; les ombres chutent du ciel
Et tombent sur la ville calme.
Le vent souffle les âmes
Des mânes et siffles dans les feuilles des arbres qui deviennent noires.
Les couloirs et ruelles des quartiers se vêtissent de noire
Et assis sous un arbre je rêve de souvenirs des villages
Anciens ; où assis autour d’un feu, un sage
Nous conte les aventures de l’hyène et du lièvre.
Elles avec des leçons de morales sont semblables aux livres
De La Fontaine. Nous nous endormons dans l’ivresse
De ces aventures de brousse. Et c’est avec pleine de tendresse
Que les femmes nous lavent à l’eau tiède le lendemain.
Souvent les soirs, les femmes chantent et dansent autour du feu de bois,
Les vieillards se reposent en croquant des noix
De cola ou en avalant du tabac, quant aux hommes jouent aux balafons.
Et nous ! Nous jouons jusqu'à ce que la lune regagne le fond
De sa demeure. Ah ! Souvenir de l’Afrique ancienne !
Tu es plus qu’un souvenir aujourd’hui !
Car tu reste une marque gravée à jamais dans ma mémoire !
Qu’importe mon modernisme contemporain !
De nos villes dites modernes ; les ombres chutent du ciel
Et tombent sur la ville calme.
Le vent souffle les âmes
Des mânes et siffles dans les feuilles des arbres qui deviennent noires.
Les couloirs et ruelles des quartiers se vêtissent de noire
Et assis sous un arbre je rêve de souvenirs des villages
Anciens ; où assis autour d’un feu, un sage
Nous conte les aventures de l’hyène et du lièvre.
Elles avec des leçons de morales sont semblables aux livres
De La Fontaine. Nous nous endormons dans l’ivresse
De ces aventures de brousse. Et c’est avec pleine de tendresse
Que les femmes nous lavent à l’eau tiède le lendemain.
Souvent les soirs, les femmes chantent et dansent autour du feu de bois,
Les vieillards se reposent en croquant des noix
De cola ou en avalant du tabac, quant aux hommes jouent aux balafons.
Et nous ! Nous jouons jusqu'à ce que la lune regagne le fond
De sa demeure. Ah ! Souvenir de l’Afrique ancienne !
Tu es plus qu’un souvenir aujourd’hui !
Car tu reste une marque gravée à jamais dans ma mémoire !
Qu’importe mon modernisme contemporain !