N’avait il pas donné corps et âme pour les indépendances ?
N’avait il usé ses jours et ses nuits à injurier la France ?
N’avait il pas lutté pour la liberté ?
N’avait il pas crier haut et fort contre les inégalités ?
Mais que lui avaient couté toutes ces années de dur labeur ?
Tous ces espoirs avaient fondu comme le beurre.
Les espoirs d’un retour triomphal sur le trône de ces ancêtres
Se sont effacés comme quand les vagues effacent les pas des être
Sur le sable blanc de la mer ; Plus de désespoirs !
Que d’espérance, de confiances et d’espoirs !
Que lui avaient apporté les indépendances ?
Rien que la carte d’identité et la disparition du négoce !
Ces situations l’obligeant désormais à quémander
Où à attendre la providence d’Allah
Car tant que réside dans les cieux Allah
Ils ne réussiront point à le faire crever !
Bâtard de bâtardise ! Sous ces Soleils !
Rien ne va à merveille !
L’échec des indépendances est un universel suffrage,
Puisqu’il fait bon de vivre dans les villages
Plutôt que dans les villes ; les indépendances sont un échec
Puisque les hauts fonctionnaires jouent avec les chèques
Public comme des papiers à se torcher le cul
Tiens ! Ne l’ont-ils pas traité comme une torche cul !
L’ont-ils pas maltraité et jeter en prison !
Par une parodie de justice qui était désormais leur chanson.
Parce qu’il n’avait pas osé raconter son rêve à la république.
Parti unique ! Parti unique ! Quel parti cynique !
« Le maitre de l’esclave n’est pas le maitre des rêves de l’esclaves »
Leur avait-il dit. Le rêve de l’esclave
Lui appartenait. Seuls les damnés pouvaient
Ne pas comprendre ceci, puisque leurs ouïes n’étaient
Pas fonctionnel. Bâtard de bâtardise !
Fils de chien des indépendances !
N’avait il usé ses jours et ses nuits à injurier la France ?
N’avait il pas lutté pour la liberté ?
N’avait il pas crier haut et fort contre les inégalités ?
Mais que lui avaient couté toutes ces années de dur labeur ?
Tous ces espoirs avaient fondu comme le beurre.
Les espoirs d’un retour triomphal sur le trône de ces ancêtres
Se sont effacés comme quand les vagues effacent les pas des être
Sur le sable blanc de la mer ; Plus de désespoirs !
Que d’espérance, de confiances et d’espoirs !
Que lui avaient apporté les indépendances ?
Rien que la carte d’identité et la disparition du négoce !
Ces situations l’obligeant désormais à quémander
Où à attendre la providence d’Allah
Car tant que réside dans les cieux Allah
Ils ne réussiront point à le faire crever !
Bâtard de bâtardise ! Sous ces Soleils !
Rien ne va à merveille !
L’échec des indépendances est un universel suffrage,
Puisqu’il fait bon de vivre dans les villages
Plutôt que dans les villes ; les indépendances sont un échec
Puisque les hauts fonctionnaires jouent avec les chèques
Public comme des papiers à se torcher le cul
Tiens ! Ne l’ont-ils pas traité comme une torche cul !
L’ont-ils pas maltraité et jeter en prison !
Par une parodie de justice qui était désormais leur chanson.
Parce qu’il n’avait pas osé raconter son rêve à la république.
Parti unique ! Parti unique ! Quel parti cynique !
« Le maitre de l’esclave n’est pas le maitre des rêves de l’esclaves »
Leur avait-il dit. Le rêve de l’esclave
Lui appartenait. Seuls les damnés pouvaient
Ne pas comprendre ceci, puisque leurs ouïes n’étaient
Pas fonctionnel. Bâtard de bâtardise !
Fils de chien des indépendances !