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« Hymne A une Personne lointaine »

#1

Quand la nuit sera profondément sombre
A l’heure où l’air est froid dans la campagne
A l’heure où les étoiles situées dans le ciel s’éloignent
A l’heure où tremblent de fraicheur les feuilles des arbres

Je me rendrai au bord de la vaste mer
Je me coucherai près des vagues sonores
Je collerai l’oreille contre le sable blanchis par la mer
Je penserai à toi sans soucis, sans remords

Les sirènes viendront chantées leurs chants aimantés
Je ne ferai point attention à leurs chants envoutants
Mais j’écouterai la terre, en regardant la mer s’agitée
Et elle me donnera des nouvelles de toi dans le lointain des ans

Je les accueillerai sans pleure, afin que tu ne souffre pas
Je les emprisonnerai dans mes pensées afin que je ne t’oublis pas
Quand l’aube frappera à la porte de la nuit
Et lorsqu’elle lui ouvrira, je te quitterai

Sans pour autant te quitté, puisque j’aurai
Tes nouvelles que j’ai ouïes
De la terre, puis logés dans mes pensées.