Femme !
Sont douces et suaves tes mains d’ange
Leurs passages sur mon corps douloureux sont comme un baume,
Mes vieux os revivent, me faisant oublier mon vieil âge ;
Sont bénies tes mains plus grasses que crème.
Femme !
Sont plus mélodieux que mélodies ta voix
Que savoure mes oreilles dans le lointain,
Sont plus utile que sérum et vaccin
Ton amour maternel pour moi.
Femme !
Sont plus harmonieux que musique tes chants,
Me plais plus le bruit de tes pas
Que l’aurore qui tombe là-bas ;
Sont plus délicieux que tous tes plats tout fumants.
Femme !
Sont plus reposant que tout tes magnifiques bras,
Dans lesquels dort tous enfants, toutes personnes,
Sans gêne, sans embarras.
Mais de fois semblable au dos de l’âne.
Sont douces et suaves tes mains d’ange
Leurs passages sur mon corps douloureux sont comme un baume,
Mes vieux os revivent, me faisant oublier mon vieil âge ;
Sont bénies tes mains plus grasses que crème.
Femme !
Sont plus mélodieux que mélodies ta voix
Que savoure mes oreilles dans le lointain,
Sont plus utile que sérum et vaccin
Ton amour maternel pour moi.
Femme !
Sont plus harmonieux que musique tes chants,
Me plais plus le bruit de tes pas
Que l’aurore qui tombe là-bas ;
Sont plus délicieux que tous tes plats tout fumants.
Femme !
Sont plus reposant que tout tes magnifiques bras,
Dans lesquels dort tous enfants, toutes personnes,
Sans gêne, sans embarras.
Mais de fois semblable au dos de l’âne.