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« Eternel Fernandel » pour Kinkin

#1
« Eternel Fernandel »

Le temps, dans le box, Longchamps, pas de trop, allons au galop, gueule cheval,
Vu, comme un poulain, avec toi et tes rires, marseillais, plus rien n’était banal,
J‘eus menti, si au départ, non bavard, tu dis ton premier mot, boulevard Chave,
L’étalon, petit, tu as grandi, sous la grande guerre, la première, dans les caves,

Oh là, amateurs explosifs, ton père ne jouait pas la comédie, ta mère, non plus,
Ah, un don, sous le son des bombes, il sifflait, elle chantait sous le son des obus,
Feux, ton frère, Marcel appellera, pénitence, Don Camillo l’écoutera et le bénira,
La comédie, l’art dans l’âme, Fernand, Désiré, la voie de tes parents, tu suivras,

Jamais vache, prisonnier, d’un destin, Contandin, d’un rien, tu feras le Bedouin,
Avec humour, tu réaliseras, tu chanteras Félicie aussi, tu trouveras ton chemin,
Ah, ton père, avec un coup de latte, t’a lancé sur les planches, aux yeux de tous,
Il comptait 40 devant le tapis rouge de l’auberge, Ali Baba, tu jouais sur tout,

Le Schpountz, star du cinéma, cuisiné au beurre, Naïs, heureux comme Ulysse,
Fondant, petit prodige du théâtre, le savon s’échappe des mains, cela glisse !
Joie, après maux, portant et en faisant des sacs, que de sucre cassé sur ton dos,
Après bazar à L’Alcazar, Ignace, un tango corse, tu virevoltais au Grand Casino.

Frédéric Reboul
 

kinkin

Maître Poète
#2
Très Honoré de Marseille merci mes préférés Le boulanger de Valorgue et Le chômeur de Clochemerle pas très connus mais charmant Bon Samedi merci de me citer Fred amicalement Kinkin