Dans les jardins d’Eden où fleuriste les fleurs divines
Aux sépales et pétales large comme des champs de vignes
Viennent s’hydrater dans ces beautés aux milles saveurs
Des papillons assoiffés de nectars ; ces jus de bonheur,
A peine buent envoutent les papillons qui se laissent
Dévorés par les lézards à la peau lisse
Et verte comme la verdure brillante au soleil
Pendant que leurs dos regardent le beau du ciel.
Apres digestion ses petits reptiles glissent sur les touffes
D’herbes menant vers les petits étangs ou les creux
Des arbres où reposent d’autres reptiles, mais venimeux
Ceux-ci se ballonnent le ventre des ces lézards.
Et parfois chemin faisant, les rapaces tombent au hasard
Sur ces prédateurs devenues inoffensifs sous le poids
De leurs proies ; n’ayant plus le choix
Ces serpents se laissent à la merci de ces rapaces.
Souvent, des chasseurs se reposent dans ces jardins
Et les aboiements de leurs chiens
A la vue de ces rapaces posés sur la face
D’un tronc d’arbre mort, alertent les chasseurs
Des coups de fusils retentissent comme des chœurs
Entrainant de nombreux échos annonçant des nouvelles
Dans les environs pendant que les plumes volent à merveille
Mais peu de temps après le silence domine la scène
Dans l’agonie de la faune.
Aux sépales et pétales large comme des champs de vignes
Viennent s’hydrater dans ces beautés aux milles saveurs
Des papillons assoiffés de nectars ; ces jus de bonheur,
A peine buent envoutent les papillons qui se laissent
Dévorés par les lézards à la peau lisse
Et verte comme la verdure brillante au soleil
Pendant que leurs dos regardent le beau du ciel.
Apres digestion ses petits reptiles glissent sur les touffes
D’herbes menant vers les petits étangs ou les creux
Des arbres où reposent d’autres reptiles, mais venimeux
Ceux-ci se ballonnent le ventre des ces lézards.
Et parfois chemin faisant, les rapaces tombent au hasard
Sur ces prédateurs devenues inoffensifs sous le poids
De leurs proies ; n’ayant plus le choix
Ces serpents se laissent à la merci de ces rapaces.
Souvent, des chasseurs se reposent dans ces jardins
Et les aboiements de leurs chiens
A la vue de ces rapaces posés sur la face
D’un tronc d’arbre mort, alertent les chasseurs
Des coups de fusils retentissent comme des chœurs
Entrainant de nombreux échos annonçant des nouvelles
Dans les environs pendant que les plumes volent à merveille
Mais peu de temps après le silence domine la scène
Dans l’agonie de la faune.