Tous les jours je fais le même trajet.
Toujours ces mêmes gens pressés.
Le bus dévalant l'asphalte
Mes pensées courent, disparates.
Mes yeux parcourent la foule endormie,
Mon corps implore de retourner au lit.
Un léger frisson traverse mon échine,
je me retourne pour en connaître l'origine.
Nos regards se sont croisés tout simplement.
Je jure n'avoir vu de tels yeux auparavant.
Tu m'as harponné, je ne peux fuir
Et en représailles, je ne peux que sourire.
Mon cœur bat très vite désormais.
J'ai tellement chaud, si tu savais!
le reste autour n'a plus lieu d'être,
Ni même le paysage derrière la fenêtre.
Le temps s'est arrêté, depuis longtemps?
Mais une voix m'arrache à mon doux emprisonnement.
Le voyage arrive à son apogée
Mon âme panique, je crois rêver.
Le bus s'arrête, mon monde aussi.
Tous les pores de ma peau supplient.
Feras-tu un geste? Me retiendras-tu?
Un amour peut-il si vite être perdu?
Aujourd’hui, voiture en panne !!
Je me résous la mort dans l’âme,
Je vais prendre le bus pour une fois.
Mais les transports très peu pour moi.
Le bus arrive, je m’engouffre a l’intérieur,
Je cherche du regard une place,
Et là soudain arrive la stupeur,
Elle est là près de la glace.
Une jeune fille d’une beauté !
J’en deviens émerveillé,
Elle dégage une aura a se damné,
Je m’approche doucement et m’assied.
A mon grand bonheur,
Elle me regarde faire et me sourit.
C’est alors avec ardeur,
Que je la regarde et je prie.
Je prie pour qu’elle ressente le même émoi,
Pour qu’elle ose me parler, se dévoiler,
Mais cela n’arrive pas, et ce bus qui avance,
Il faut réfléchir, trouver la délivrance.
Et cette odeur qu’elle dégage, ce parfum
Telle une rose éclos dans un jardin.
Le bus stoppe, elle descend, je l’emboite,
Il faut que j’improvise ! Les mains moites.
« Mlle, vous m’avez offert un sourire,
Permettez-moi de vous offrir un café
Si vous refuser, je m’en vais mourir
Je ne pourrai le supporter. »
Toujours ces mêmes gens pressés.
Le bus dévalant l'asphalte
Mes pensées courent, disparates.
Mes yeux parcourent la foule endormie,
Mon corps implore de retourner au lit.
Un léger frisson traverse mon échine,
je me retourne pour en connaître l'origine.
Nos regards se sont croisés tout simplement.
Je jure n'avoir vu de tels yeux auparavant.
Tu m'as harponné, je ne peux fuir
Et en représailles, je ne peux que sourire.
Mon cœur bat très vite désormais.
J'ai tellement chaud, si tu savais!
le reste autour n'a plus lieu d'être,
Ni même le paysage derrière la fenêtre.
Le temps s'est arrêté, depuis longtemps?
Mais une voix m'arrache à mon doux emprisonnement.
Le voyage arrive à son apogée
Mon âme panique, je crois rêver.
Le bus s'arrête, mon monde aussi.
Tous les pores de ma peau supplient.
Feras-tu un geste? Me retiendras-tu?
Un amour peut-il si vite être perdu?
Aujourd’hui, voiture en panne !!
Je me résous la mort dans l’âme,
Je vais prendre le bus pour une fois.
Mais les transports très peu pour moi.
Le bus arrive, je m’engouffre a l’intérieur,
Je cherche du regard une place,
Et là soudain arrive la stupeur,
Elle est là près de la glace.
Une jeune fille d’une beauté !
J’en deviens émerveillé,
Elle dégage une aura a se damné,
Je m’approche doucement et m’assied.
A mon grand bonheur,
Elle me regarde faire et me sourit.
C’est alors avec ardeur,
Que je la regarde et je prie.
Je prie pour qu’elle ressente le même émoi,
Pour qu’elle ose me parler, se dévoiler,
Mais cela n’arrive pas, et ce bus qui avance,
Il faut réfléchir, trouver la délivrance.
Et cette odeur qu’elle dégage, ce parfum
Telle une rose éclos dans un jardin.
Le bus stoppe, elle descend, je l’emboite,
Il faut que j’improvise ! Les mains moites.
« Mlle, vous m’avez offert un sourire,
Permettez-moi de vous offrir un café
Si vous refuser, je m’en vais mourir
Je ne pourrai le supporter. »