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Meimouna
Chaque bouffée du vent était un souffle chaud
Faisant cingler au sang le sable sur nos peaux :
Dans les rues qui étaient bordées de maisons basses
Le simoun nous happait comme on coule des brasses.
Et puis soudain nous vîmes s’entrouvrir une porte
Tout au fond de l’abyme baigné de...