Je te vois, bel oiseau libre, oui je t’admire,
Et tes douces mélodies dans mon cœur se mirent.
Ton chant éternel, chassera bien ma tristesse:
A la forêt, aux champs, dans la ville: adieu stress !
Ici, la plaine s’assombrit, là le jour se lève,
Mon amour pour toi n’a connu aucune trêve...