Apparences
J’étais plein de ma vie, de la force de l’être ;
Mon petit pré carré sent la précarité
Et je remplis mes vides en y jetant des lettres
Et des amas de mo(r)ts, zélés, pleins de fosseté.
Et j’enlève un à un les masques de mon je,
Et ma tête d’amour, l’orbite de mes yeux
Se dévoilent...