Aux pieds d’un pin.
L’infante marche sur le petit chemin
De chaque côté les haies de romarins
L’accompagnent de ses frais parfums
Joyeuse, elle rejoint à la plage ses copains
C’est le chemin de la fin d’une l’enfance
Où le soleil rythme avec insouciance
Un loup est allongé, là, sur le sable...