Vos yeux au charme suspendu

Chère ,dont la douceur couronne le front
De ses pales clartés aux cieux épanouis
N'ayez pas la douleur des fleurs évanouies
Que le triste regret ne vous fait pas affront

N'ayez pas le remord en leur cœur répandu
Que le chant du tourment de vos esquises larmes
Songez qu'il n'est rien de leurs mortes alarmes
Quand naît en vos beaux yeux le charme suspendu

De l'hiemal sommeil, voici le temps venu
Et la brise tremblante au travers du bois nu
À defleuri le feu de leurs corymbes rose

Mais leur enchantement si durement brise
Par l'insigne froideur de la saison morose
Persiste dans vos pleurs ou est eternise

Le floral souvenir,Chère, de leur apotheose

Bonjour le texte apparaît t il svp
Merci jj

Merci Nacy
Bises jojo

Coucou Jojo
Le texte apparaît très bien
Bel écrit plein de sens
J'ai trouvé une définition très belle
L'ensemble des fleurs se trouvent dans le même plan, un peu comme dans une ombelle, et leurs pédoncules insérés sur une tige
Un petit bouquet pour toi

Bises
Fred

Bel écrit qui mérite bien le bouquet de fleurs de Frédéric
Bises
Gaby

Merci Gaby
Merci Frédéric pour ce geste courtois
Je prends

Ah! Regard
à la puissance grand V
comme celle de la Vie
Combien de fois sur toi
"lettre" est suspendu!

Ce Regard est parole
la première muette avant
celle de l'haleine!

Quelle belle aube
se lève et qui traduit
si bien et qu'il enregistre!

Et quand l'air s'essouffle
ce courant d'air s'installe
en lui, l'habite
il se souvient des plus belles roses
Les yeux fermés parleront encore!

Mon coup de coeur
Pourquoi?
Pour un tout qui ne se délasse
un cœur dans les yeux!

Bises ma Jojo, Poly

Merci Poly et Bonjour

Ton poème m'a fait penser à celui ci.

Déesse, dans les cieux éblouissants, la Voie
Lactée est un chemin de triomphe et de joie,
Et ce flot de clarté qui dans le firmament
Jette parmi l’azur son blanc embrasement

Semble, dans sa splendeur en feu qui s’irradie,
Produit par un foyer unique d’incendie.
Mais quand notre regard dans l’éther empli d’yeux
Monte vers l’Océan céleste que les Dieux
Font rouler des Gémeaux de flamme au Sagittaire,

Je ne sais si c'est lui qui te l'a inspiré

Merci Daniel

Non je ne connais pas

C'est un texte qui date de X temps que j'ai reposte
B

Quelle maîtrise du rythme binaire et des alliterations soudaine ça me laisse perplexe du fait que chaque vers semble disparate l'un de l'autre comme un collage. Je ne sais que dire bravo mais ce poème me gêne je ne sais pas pourquoi. Excuse moi de ma sincérité

Très vieux texte remis au gout du jour

Je m'en retourne voir

celui * de l'époque*

La maîtrise des Alexandrins est à l'excellence, voilà quoi

Ai regarde
Rien à signaler

Sinon des * ressemblances * aux Poètes ou Poetesses écrivant sur les pleurs
Que dire si ce n'est que la embellit ou enlaidit?


JP me dit souvent que j'ai du Valmore en moi
Je ne peux pas dire
C'est le lecteur qui ressent les choses
Bises jj

Non ce n'est pas ça je ne reconnais pas ton écriture dans ces vers simplement

Le souffle court que tu imprime d'habitude n'est pas présent

Ce n'est pas grave. Bisou ma jojo

Je n'ai pas toujours le souffle court Dan
Lis mes X poèmes
tu verras
En particulier pour les Sonnets sur la Nature
Les alexandrins sont beaux
Jj

Certes j'en conviens aisément mais la fluidité de ces vers la maîtrise du e muet les hémistiches les rejet sont une écriture incomparable. Enfin bref ça n'a pas d'importance c'est un joli sonnet même en l'absence de l'alternance des rimes masculines féminines et le mélange de rimes plurielles singulières

magnifique poésie bravo