( j'ai écrit ce texte pour la rédaction du brevet 2016 , j'avais pris le sujet inventif et il fallais que je commence par la phrase qui est en gras et sa devait etre la suite du texte :
Il faut que je me lève, que je marche, que je parle à quelqu’un, que j’enlève cette obsession de regarder ces gouttes tombées. Je marche sans m’arrêter, les gouttes glissent lentement sur ma peau, elles s’accrochent à mes vêtements, comme si elles refusaient de me donner la liberté de penser à autre chose, comme si elles voulaient que je leur appartienne. Je marche encore et encore, les gouttes contrôlent encore mes pensées soumises à cette pluie interminable. J’aperçois une silhouette,
- Est-ce de la folie ?
- Deviendrais-je fou ?
Alors je m’approche assez, pour voir de mes propres yeux cette homme debout figé qui se tient au loin ; les gouttes s’étaient emparées de lui, elles tombaient sur son corps, glissaient et retombaient par terre, son regard était au loin comme si son corps était emprisonné des gouttes mais que son esprit, lui, survolait le ciel et les beautés du monde cachées par cette pluie. C’est plus fort que moi il faut que je lui parle :
- Pourquoi restez vous figé ici sous ce ciel qui fait tomber ces goutes ?
Sans aucune expression sur son visage si pâle, il me répond :
- Et vous pourquoi bougez-vous autant ?
- Pour oublier
Son visage toujours aussi pâle prend une expression de surprise
- Oublier ?
- oui, c’est gouttes m’obsèdent tellement
- Qu’est-ce qui vous obsède tellement dans ces gouttes ?
- et bien … Pourquoi sont elles aussi nombreuses ? Est-ce qu’elles ont un rythme ? D’où viennent-elles ?
Il observa un instant les gouttes, comme s’ils voulaient se concentrer sur chacune d’elle.
- Vous voyez mon cher, chaque goutte correspond à une vie, chaque vie est différente et avance à un rythme différent, alors elles tombent à une allure que l’on ne pourrait définir, la vie nous a été offerte par dieu, alors elles tombent du ciel, puis une fois tombées, elles font chacune leur petit chemin et disparaissent car la vie n’est pas éternelle.
Toutes mes questions avaient était répondues, mes pensées ne s’interrogeaient plus sur ces gouttes mystérieuses, elles n’avaient plus de secret ; mon esprit tout d’un coup s’est apaisé mais je demande quand même à l’homme :
- pourquoi regarder vous au loin ?
- Pour voir le soleil se levé et voir une nouvelle journée recommencer
Alors je me mets à coté de lui, l’esprit vidé, les pensées délivrées et j’attends cette nouvelle journée.
la boue de Maurice Genevoix
donc voila je vous laisse lire , n'hesitez pas a me dire ce que vous en pensez ):
donc voila je vous laisse lire , n'hesitez pas a me dire ce que vous en pensez ):
Il faut que je me lève, que je marche, que je parle à quelqu’un, que j’enlève cette obsession de regarder ces gouttes tombées. Je marche sans m’arrêter, les gouttes glissent lentement sur ma peau, elles s’accrochent à mes vêtements, comme si elles refusaient de me donner la liberté de penser à autre chose, comme si elles voulaient que je leur appartienne. Je marche encore et encore, les gouttes contrôlent encore mes pensées soumises à cette pluie interminable. J’aperçois une silhouette,
- Est-ce de la folie ?
- Deviendrais-je fou ?
Alors je m’approche assez, pour voir de mes propres yeux cette homme debout figé qui se tient au loin ; les gouttes s’étaient emparées de lui, elles tombaient sur son corps, glissaient et retombaient par terre, son regard était au loin comme si son corps était emprisonné des gouttes mais que son esprit, lui, survolait le ciel et les beautés du monde cachées par cette pluie. C’est plus fort que moi il faut que je lui parle :
- Pourquoi restez vous figé ici sous ce ciel qui fait tomber ces goutes ?
Sans aucune expression sur son visage si pâle, il me répond :
- Et vous pourquoi bougez-vous autant ?
- Pour oublier
Son visage toujours aussi pâle prend une expression de surprise
- Oublier ?
- oui, c’est gouttes m’obsèdent tellement
- Qu’est-ce qui vous obsède tellement dans ces gouttes ?
- et bien … Pourquoi sont elles aussi nombreuses ? Est-ce qu’elles ont un rythme ? D’où viennent-elles ?
Il observa un instant les gouttes, comme s’ils voulaient se concentrer sur chacune d’elle.
- Vous voyez mon cher, chaque goutte correspond à une vie, chaque vie est différente et avance à un rythme différent, alors elles tombent à une allure que l’on ne pourrait définir, la vie nous a été offerte par dieu, alors elles tombent du ciel, puis une fois tombées, elles font chacune leur petit chemin et disparaissent car la vie n’est pas éternelle.
Toutes mes questions avaient était répondues, mes pensées ne s’interrogeaient plus sur ces gouttes mystérieuses, elles n’avaient plus de secret ; mon esprit tout d’un coup s’est apaisé mais je demande quand même à l’homme :
- pourquoi regarder vous au loin ?
- Pour voir le soleil se levé et voir une nouvelle journée recommencer
Alors je me mets à coté de lui, l’esprit vidé, les pensées délivrées et j’attends cette nouvelle journée.