L’alcool,
O mes compagnons de misère et de gaieté
Un verre à la main, nous fêtons nos beuveries
L'âme du vin chante dans les bouteilles et de l'orgie
L'alcool des hommes coule comme un fleuve dans les cafés.
O mes compagnons de misère et de gaieté
Nous sommes frères de toujours, copains de l'aventure
Les femmes, nous les aimons tous, ces folles créatures
Vidant nos vices dans le ventre de prostituées.
O mes compagnons de misère et de gaieté
J'ai trouvé parmi vous, des joies et des regrets
Hélas ! Mille fois hélas ! Vous serez tous navrés
Mon cœur solitaire pour une femme a chaviré.
J'ai un doux mal dans la tête qui me berce, écoutez !
L'alcool qui coule dans mes veines, buvez et chantez
Frères du vin, votre âme s'est enfuie dans un trou noir
Chassez la mort jusqu'aux ténèbres de la mémoire.
Vous qui avez tous dans le sang, le fruit amer
De vos espoirs, pleurez à la vue du pauvre hère
Que je suis, j'ai dans le corps plus de nuits glacées
Que de jours fastes, je suis rongé et assoiffé.
Frères du vin, vous versez la jeunesse et la vie
Dans une bouteille que vous videz au fond d'un puits
Vous serez ce soir ivre mort, sans plus un sou
Amis, je vais boire avec vous de tout mon soûl.
Faut-il s’égarer dans les brumes de l’alcool
Dans les vertiges éthérés d’un rhum agricole
Pour connaître le doux chant, de la poésie
L’âme de Bacchus, dans mes veines d’amnésie !
Faut-il cette ivresse, ce plaisir imbibé
Des senteurs d’eau-de-vie, des boissons prohibées
Pour écrire des mots, titubant dans les vers
D’un verre de rimes et d’aimer leurs travers.
Je suis soûl, ivre, je divague, navigue
Sur un océan d’effluves, sur des vagues
Assombries de vapeurs, de parfums anisés
L’esprit se perdant dans les limbes alcoolisés !
O mes compagnons de misère et de gaieté
Un verre à la main, nous fêtons nos beuveries
L'âme du vin chante dans les bouteilles et de l'orgie
L'alcool des hommes coule comme un fleuve dans les cafés.
O mes compagnons de misère et de gaieté
Nous sommes frères de toujours, copains de l'aventure
Les femmes, nous les aimons tous, ces folles créatures
Vidant nos vices dans le ventre de prostituées.
O mes compagnons de misère et de gaieté
J'ai trouvé parmi vous, des joies et des regrets
Hélas ! Mille fois hélas ! Vous serez tous navrés
Mon cœur solitaire pour une femme a chaviré.
J'ai un doux mal dans la tête qui me berce, écoutez !
L'alcool qui coule dans mes veines, buvez et chantez
Frères du vin, votre âme s'est enfuie dans un trou noir
Chassez la mort jusqu'aux ténèbres de la mémoire.
Vous qui avez tous dans le sang, le fruit amer
De vos espoirs, pleurez à la vue du pauvre hère
Que je suis, j'ai dans le corps plus de nuits glacées
Que de jours fastes, je suis rongé et assoiffé.
Frères du vin, vous versez la jeunesse et la vie
Dans une bouteille que vous videz au fond d'un puits
Vous serez ce soir ivre mort, sans plus un sou
Amis, je vais boire avec vous de tout mon soûl.
Faut-il s’égarer dans les brumes de l’alcool
Dans les vertiges éthérés d’un rhum agricole
Pour connaître le doux chant, de la poésie
L’âme de Bacchus, dans mes veines d’amnésie !
Faut-il cette ivresse, ce plaisir imbibé
Des senteurs d’eau-de-vie, des boissons prohibées
Pour écrire des mots, titubant dans les vers
D’un verre de rimes et d’aimer leurs travers.
Je suis soûl, ivre, je divague, navigue
Sur un océan d’effluves, sur des vagues
Assombries de vapeurs, de parfums anisés
L’esprit se perdant dans les limbes alcoolisés !