D'après un vers d'un poème de Sophie Rivière avec son autorisation
M a jeunesse brûle sur l'autel des saisons
A vec toute la fougue de mes quinze ans
J e joue de mon corps et de mes sens
E n ondulations lascives devant le miroir
U n jeu que me commandent mes envies.
N ée d'une fleur un matin de printemps
E nveloppée dans des langes de volupté
S ur l'autel d' une douce sensualité
S ans autre vêtement que ma nudité
E ncore aujourd'hui j'en suis toute émue
B aisers d'un doux zéphyr dans le cou
R age de voir ma silhouette s'éveiller
U n fin duvet tel des cheveux d'ange
L entement orne mes aisselles
E t mon pubis ne sera plus nubile
S ouriant à ce reflet de ma féminité
U n semblant de tétons se dessine
R ien ne saurait me faire plus plaisir
L a naissance de ma tendre féminité
A gace mon corps transi d'émois
U n désir fugace inerve mes veines
T entation d"une première caresse
E t mes doigts effleure ma virginité
L à où d'autres me défloreront
D emain je serai une femme
E t mon hymen s'envolera
S ensations de plénitude
S ur cet autel des saisons
A vec la plus grande des douceurs
I l fera de moi une femme heureuse
S avourant tous deux cet instant
Ô qu'il me tarde d'être à lui
N ous serons alors si heureux
S avoir enfin ce qu"est l'amour
M a jeunesse brûle sur l'autel des saisons
A vec toute la fougue de mes quinze ans
J e joue de mon corps et de mes sens
E n ondulations lascives devant le miroir
U n jeu que me commandent mes envies.
N ée d'une fleur un matin de printemps
E nveloppée dans des langes de volupté
S ur l'autel d' une douce sensualité
S ans autre vêtement que ma nudité
E ncore aujourd'hui j'en suis toute émue
B aisers d'un doux zéphyr dans le cou
R age de voir ma silhouette s'éveiller
U n fin duvet tel des cheveux d'ange
L entement orne mes aisselles
E t mon pubis ne sera plus nubile
S ouriant à ce reflet de ma féminité
U n semblant de tétons se dessine
R ien ne saurait me faire plus plaisir
L a naissance de ma tendre féminité
A gace mon corps transi d'émois
U n désir fugace inerve mes veines
T entation d"une première caresse
E t mes doigts effleure ma virginité
L à où d'autres me défloreront
D emain je serai une femme
E t mon hymen s'envolera
S ensations de plénitude
S ur cet autel des saisons
A vec la plus grande des douceurs
I l fera de moi une femme heureuse
S avourant tous deux cet instant
Ô qu'il me tarde d'être à lui
N ous serons alors si heureux
S avoir enfin ce qu"est l'amour
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