Heureux comme des rois
Quand nos gamins vivaient sous notre toit
Il y avait des jours il fallait gueulait parfois
Il fallait passer souvent derrière eux
Il ne faisait gaffe a rien ses petits merdeux
Ils passaient un temps fou sous la douche
La flotte coulait, il gobait les mouches
Leurs kikis devait être d’une brillance
Ou faisaient ils des cartes de France
Pareil pour les lumières c’était Versailles
Il fallait faire des rondes comme la flicaille
De même quand ils allaient aux chiottes
Le rouleau pas changé pour s’essuyer la crotte
Ils ne laissaient qu’une miséreuse feuille
J’aurais été dans la nature j’aurais pris du cerfeuil
La bouteille de lait finie remise au réfrigérateur
< Ah ce n’est pas moi c’est ma sœur > menteur
Quand ils ont commencés à avoir leurs boulots
Pas de pensions alimentaires, pas un centimes d’ euros
C’ était tout bénéfique pour eux tout dans leurs poches
C’était la politique de la maison ce n’est pas un reproche
Ils jouaient a la console le soir un petit creux
Il laissait sur la table leur yaourt vide et hop au pieu
Ils pouvaient dire qu’ils avaient la belle vie
Les pieds sous la table logés, blanchis et nourris
Maintenant qu'ils sont en couple
Chez eux ils sont un peu moins souples
Ils voient quand arrivent les factures
Que parfois les fin de mois sont dures
Quand nos gamins vivaient sous notre toit
Il y avait des jours il fallait gueulait parfois
Il fallait passer souvent derrière eux
Il ne faisait gaffe a rien ses petits merdeux
Ils passaient un temps fou sous la douche
La flotte coulait, il gobait les mouches
Leurs kikis devait être d’une brillance
Ou faisaient ils des cartes de France
Pareil pour les lumières c’était Versailles
Il fallait faire des rondes comme la flicaille
De même quand ils allaient aux chiottes
Le rouleau pas changé pour s’essuyer la crotte
Ils ne laissaient qu’une miséreuse feuille
J’aurais été dans la nature j’aurais pris du cerfeuil
La bouteille de lait finie remise au réfrigérateur
< Ah ce n’est pas moi c’est ma sœur > menteur
Quand ils ont commencés à avoir leurs boulots
Pas de pensions alimentaires, pas un centimes d’ euros
C’ était tout bénéfique pour eux tout dans leurs poches
C’était la politique de la maison ce n’est pas un reproche
Ils jouaient a la console le soir un petit creux
Il laissait sur la table leur yaourt vide et hop au pieu
Ils pouvaient dire qu’ils avaient la belle vie
Les pieds sous la table logés, blanchis et nourris
Maintenant qu'ils sont en couple
Chez eux ils sont un peu moins souples
Ils voient quand arrivent les factures
Que parfois les fin de mois sont dures