La lumière du dernier regard !A ma fille
Promets-moi d'arriver sur la plus haute marche, au sommet
De laisser sans te soucier ces restes sans âme trois mètres sous terre
Celle qui fût sera bien plus haut dans le ciel au dessus du laid
Alors lève ton visage et éclaire le à jamais de lumière de mère
Ce soir, je sais pas ce qui m'arrive, j’ai peur de ne plus être ton ombre
Loin, de toi ma douce folie, celle que mon cœur compte d'heures sombres
C'est étrange de partir sans bagage, sans passeport, sans plus d'amarres
Perdre son identité, laisser son nom sur le quai d'une imaginaire gare
L'horloge, cette put-hein, joue les aiguilles du temps
Ce tic tac incessant qui reste la seule mélodie qui ne somnole
Chaque minutes est un soupir, chaque soupir une perte de vent
Celui que je ne respire comme ces courants d'air qui violent
Puis-je étouffer avant tout cet amour qui s'agite et me tortille ?
Comme la vie est pure nature et la mort forte et étrange
Elles sont ces opposées, ces guerrières qui s'envoient des torpilles
Prenant les désirs, les illusions, ces riens, ces tout en échange
L'espérance reste ce qui brille au fond de l'amour et des adieux
Ce besoin de croire que je pourrais langer éternellement tes plaies
Faire cette vendange qui te fera riche à la gloire des victorieux
Étant morte à la vie, je veux pour toi encore et encore m'essouffler
Je ne veux pas te savoir un soldat brisé qui sans raison désespère
Devant ce marbre bien trop banal et sans attrait qui jure de mon nom
Vois-tu ma fille, il te faudra bien plus que toutes ces prières
Pour que demain si tu te laisses mourir, je te donne mon pardon...
lilasys....
Promets-moi d'arriver sur la plus haute marche, au sommet
De laisser sans te soucier ces restes sans âme trois mètres sous terre
Celle qui fût sera bien plus haut dans le ciel au dessus du laid
Alors lève ton visage et éclaire le à jamais de lumière de mère
Ce soir, je sais pas ce qui m'arrive, j’ai peur de ne plus être ton ombre
Loin, de toi ma douce folie, celle que mon cœur compte d'heures sombres
C'est étrange de partir sans bagage, sans passeport, sans plus d'amarres
Perdre son identité, laisser son nom sur le quai d'une imaginaire gare
L'horloge, cette put-hein, joue les aiguilles du temps
Ce tic tac incessant qui reste la seule mélodie qui ne somnole
Chaque minutes est un soupir, chaque soupir une perte de vent
Celui que je ne respire comme ces courants d'air qui violent
Puis-je étouffer avant tout cet amour qui s'agite et me tortille ?
Comme la vie est pure nature et la mort forte et étrange
Elles sont ces opposées, ces guerrières qui s'envoient des torpilles
Prenant les désirs, les illusions, ces riens, ces tout en échange
L'espérance reste ce qui brille au fond de l'amour et des adieux
Ce besoin de croire que je pourrais langer éternellement tes plaies
Faire cette vendange qui te fera riche à la gloire des victorieux
Étant morte à la vie, je veux pour toi encore et encore m'essouffler
Je ne veux pas te savoir un soldat brisé qui sans raison désespère
Devant ce marbre bien trop banal et sans attrait qui jure de mon nom
Vois-tu ma fille, il te faudra bien plus que toutes ces prières
Pour que demain si tu te laisses mourir, je te donne mon pardon...
lilasys....
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