Je pense encore à toi pour la fête des Mères,
Mais ce grand univers n’a plus cette saveur,
Ce temps où, mon amour soumis là par faveur,
Je retiens pour image un reflet de chimères.
Mais ce grand univers n’a plus cette saveur,
Ce temps où, mon amour soumis là par faveur,
Je retiens pour image un reflet de chimères.
Aujourd’hui c’est trop tard tu n’es plus vraiment là,
Et je pleure à jamais de tristesse en mon âme,
Je garde en souvenir ton visage de femme
Qui traverse le temps dans un songe et voilà ;
Et je pleure à jamais de tristesse en mon âme,
Je garde en souvenir ton visage de femme
Qui traverse le temps dans un songe et voilà ;
De prier sous la nue une foi pour fortune,
J’aimerais tant mamy te revoir sous la lune
Défaire tes cheveux et te les caresser.
J’aimerais tant mamy te revoir sous la lune
Défaire tes cheveux et te les caresser.
C’est tout comme un désert qui traverse ma vie
Quand je vois mes enfants au plaisir d’une envie,
Mais je t’aime maman je ne peux l’effacer.
Quand je vois mes enfants au plaisir d’une envie,
Mais je t’aime maman je ne peux l’effacer.
Maria-Dolores