OUI, Vie tu es Amour !
dessin fait aux crayon noir, je ne comprends ce bleu ni ces auréoles
de plus un agrandissement "surprise" qui durcit les traits!
Et cela se fête en prose!
Les yeux sur clavier
Sans tablier*
J’écris sous la dictée de mes pensées.
Pour suivre trois phrases en un certain
Moment posées en février,
Sans me souvenir le pourquoi de leur objet
Ni du pourquoi mon âme s’est penchée !
Et maintenant le poursuivre,
Mettre un titre
Qui ne me vient
L’amour est trop court
Je parle de la vie
Avec regard pour toutes les Mères
Je joue avec les mots
Tu es tendre, tu es sang et tu es corps !
Tu es souple, vive et forte,
Tu es corps de vie !
En chaque mère, Marie,
Vierge vigne de la vie !
Qui connaît la Sainte thèse ?
Qui connaît parents thèse ?
Les miracles paraissent
Pour que réflexions caressent
Toutes images de la vie
La vôtre, la nôtre
Dévote ou non !
Car Vérité se trouve
Pour parler toujours,
Fait tous les détours
Pour montrer à l’alentour
Où se cache l’Amour !
N’oublions pas chacun et tous
Que tu es complémentaire de l’homme
Pour bénir le monde
Et amplifier l’ombre
Etre chaque fois deux dans le nombre
Pour déployer les figures de l’Amour
Sous toutes formes toujours,
Offert, donné, reçu
Vivant.
Entier il est l’image
De toutes vertus
et Vous toutes Mères vous les accomplissez.
Sur sentiers et routes, petits rus…
Ses chemins fourmillent !
Il n’a que cent ou mille habits
Pour revêtir toutes robes même guenilles
Il est aussi familles aux portes de l’Oubli
Polymnie2,
Sans tablier = sans préparation !
Journée de pensées à vous toutes et pour les plus touchées en ce jour!
dessin fait aux crayon noir, je ne comprends ce bleu ni ces auréoles
de plus un agrandissement "surprise" qui durcit les traits!
Et cela se fête en prose!
Les yeux sur clavier
Sans tablier*
J’écris sous la dictée de mes pensées.
Pour suivre trois phrases en un certain
Moment posées en février,
Sans me souvenir le pourquoi de leur objet
Ni du pourquoi mon âme s’est penchée !
Et maintenant le poursuivre,
Mettre un titre
Qui ne me vient
L’amour est trop court
Je parle de la vie
Avec regard pour toutes les Mères
Je joue avec les mots
Tu es tendre, tu es sang et tu es corps !
Tu es souple, vive et forte,
Tu es corps de vie !
En chaque mère, Marie,
Vierge vigne de la vie !
Qui connaît la Sainte thèse ?
Qui connaît parents thèse ?
Les miracles paraissent
Pour que réflexions caressent
Toutes images de la vie
La vôtre, la nôtre
Dévote ou non !
Car Vérité se trouve
Pour parler toujours,
Fait tous les détours
Pour montrer à l’alentour
Où se cache l’Amour !
N’oublions pas chacun et tous
Que tu es complémentaire de l’homme
Pour bénir le monde
Et amplifier l’ombre
Etre chaque fois deux dans le nombre
Pour déployer les figures de l’Amour
Sous toutes formes toujours,
Offert, donné, reçu
Vivant.
Entier il est l’image
De toutes vertus
et Vous toutes Mères vous les accomplissez.
Sur sentiers et routes, petits rus…
Ses chemins fourmillent !
Il n’a que cent ou mille habits
Pour revêtir toutes robes même guenilles
Il est aussi familles aux portes de l’Oubli
Polymnie2,
Sans tablier = sans préparation !
Journée de pensées à vous toutes et pour les plus touchées en ce jour!
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