L’or de Noël
C'est de l'or, or que tu nous contes cette fable,
Dont ton petit rimailleur en est bien affable,
Maintenant, je vais au pays des tulipes, ni rose ni violette,
D'avec les miens partager encore de si belles fêtes.
Bientôt mon aurore sera accompagnée de beaux cris,
Au pied d'un sapin, le bonnet de Noël sera enfin rempli.
Viens, toujours, je suis là,
Pour ma muse, tra la la.
Viens, enfin, tomber dans mes bras,
Pour fêter Noël, la nouvelle année, voilà.
Tu nous parles d'un baiser, chameau !
Je préfère tes lèvres, c'est tellement plus beau,
Mais je te souhaite un joyeux Noël,
Que tous tes désirs deviennent merveilles.
Quand est-ce qu'on mange ?
Ton gâteau de Noël me démange,
Mais c'est vrai, rien ne vaut le partage,
Celui qui nous uni, quelque soit notre âge.
Qu'il est bien raconté, ce dessert de fête,
Et je n'y vois aucune embûche,
A ces si belles et goûteuses bûches,
A noël, tu les savoures, satisfaites.
Ci-joint un peu de neige pour un Noël blanc,
A toi aussi, un joyeux Noël maintenant.
Ou sont nos Noël d'antan,
Ou une orange était le plus beau des présents,
Ou sont nos Noël d'antan,
Ou l'on pouvait faire des compliments.
Encore un, c'est une mère veille,
Que cette mère Noël émerveille,
Ce début est un nouveau cri,
Qui se termine dans l'espérance, pas dans l'oubli.
C'est de l'or, or que tu nous contes cette fable,
Dont ton petit rimailleur en est bien affable,
Maintenant, je vais au pays des tulipes, ni rose ni violette,
D'avec les miens partager encore de si belles fêtes.
Bientôt mon aurore sera accompagnée de beaux cris,
Au pied d'un sapin, le bonnet de Noël sera enfin rempli.
Viens, toujours, je suis là,
Pour ma muse, tra la la.
Viens, enfin, tomber dans mes bras,
Pour fêter Noël, la nouvelle année, voilà.
Tu nous parles d'un baiser, chameau !
Je préfère tes lèvres, c'est tellement plus beau,
Mais je te souhaite un joyeux Noël,
Que tous tes désirs deviennent merveilles.
Quand est-ce qu'on mange ?
Ton gâteau de Noël me démange,
Mais c'est vrai, rien ne vaut le partage,
Celui qui nous uni, quelque soit notre âge.
Qu'il est bien raconté, ce dessert de fête,
Et je n'y vois aucune embûche,
A ces si belles et goûteuses bûches,
A noël, tu les savoures, satisfaites.
Ci-joint un peu de neige pour un Noël blanc,
A toi aussi, un joyeux Noël maintenant.
Ou sont nos Noël d'antan,
Ou une orange était le plus beau des présents,
Ou sont nos Noël d'antan,
Ou l'on pouvait faire des compliments.
Encore un, c'est une mère veille,
Que cette mère Noël émerveille,
Ce début est un nouveau cri,
Qui se termine dans l'espérance, pas dans l'oubli.