Savoir faire le raccord !
J’approfondis la seconde qui suit !
Me croyez-vous ou non ! je déjeune dehors,
A l’abri sous la terrasse couverte assurément
Mais ouverte sur tout l’horizon !
Mon repas issu de la terre ouvre le grand large :
Choux fleurs sauce aurore, gambas les vacances !
Je garde le décortiqué pour parfumer un riz,
Et les antennes je vous les offre pour m’écouter !
Prévoir, toujours prévoir, mais pour un jour à venir
Et non leur fin, car, elle, sera toujours savourée qu’importe !
Et je pense à ma Mère, huit enfants ce n’est pas simple !!!
Croyez-moi ou non, mais ce premier novembre, le jour des Saints,
Est aussi doux que la veille !
Sous l’infini du bleu sans hirondelle
Aucun nuage ne le trouble, le silence est à l’écoute.
Une merveille ce matin, oui ce matin, où le calme plane,
Le néant l’égoutte !
Je reviens à ma merveille, car j’entends sur le champ la cigale
Qui sans murmure aiguise son tendre chant !
Est-il le signe d'un au revoir?
Est-elle orpheline ou pleine d’amour dans la voix
Pour que les herbes folles applaudissent faisant tout trembler sur le sol !
C‘est un extra printemps qui n’a pas son pareil,
Les êtres sont dedans et les animateurs dehors !
Avec tous les saints en parade changeant ce jour pas comme les autres !
Que je vous dise encore que je suis entourée de chênes
Ornés de toutes leurs feuilles
Aucune de leurs bras ne sont tombées !
Ils font partie de la forêt vierge qui ne se dépouille
Qu’à retardement car ils ont tant encore à donner !
Tombent leurs glands, jonchent le parterre
Tels des cierges éteints mais lustrés sous fin soleil !
Tout est vert et les tondeuses en alerte
Sèment l'espérance en couleurs,
Ferment mes yeux et c’est comme un rêve
Que la nature effiloche,
Repasse le passé pour mieux l’apprécier
A chaque instant, chaque seconde !
Le temps passe, tisse une toile
La plus fine la batiste
Celle qui s’accroche à l’autre,
Beau lien entre saisons pour l’homme!
Et je pense au Grand Saint Jean-Baptiste
Précurseur offrant l’Amour
Et à vous tous Poètes
En chacun de vos
Vers en lien.
Polymnie2, le 1er Novembre 2016
J’approfondis la seconde qui suit !
Me croyez-vous ou non ! je déjeune dehors,
A l’abri sous la terrasse couverte assurément
Mais ouverte sur tout l’horizon !
Mon repas issu de la terre ouvre le grand large :
Choux fleurs sauce aurore, gambas les vacances !
Je garde le décortiqué pour parfumer un riz,
Et les antennes je vous les offre pour m’écouter !
Prévoir, toujours prévoir, mais pour un jour à venir
Et non leur fin, car, elle, sera toujours savourée qu’importe !
Et je pense à ma Mère, huit enfants ce n’est pas simple !!!
Croyez-moi ou non, mais ce premier novembre, le jour des Saints,
Est aussi doux que la veille !
Sous l’infini du bleu sans hirondelle
Aucun nuage ne le trouble, le silence est à l’écoute.
Une merveille ce matin, oui ce matin, où le calme plane,
Le néant l’égoutte !
Je reviens à ma merveille, car j’entends sur le champ la cigale
Qui sans murmure aiguise son tendre chant !
Est-il le signe d'un au revoir?
Est-elle orpheline ou pleine d’amour dans la voix
Pour que les herbes folles applaudissent faisant tout trembler sur le sol !
C‘est un extra printemps qui n’a pas son pareil,
Les êtres sont dedans et les animateurs dehors !
Avec tous les saints en parade changeant ce jour pas comme les autres !
Que je vous dise encore que je suis entourée de chênes
Ornés de toutes leurs feuilles
Aucune de leurs bras ne sont tombées !
Ils font partie de la forêt vierge qui ne se dépouille
Qu’à retardement car ils ont tant encore à donner !
Tombent leurs glands, jonchent le parterre
Tels des cierges éteints mais lustrés sous fin soleil !
Tout est vert et les tondeuses en alerte
Sèment l'espérance en couleurs,
Ferment mes yeux et c’est comme un rêve
Que la nature effiloche,
Repasse le passé pour mieux l’apprécier
A chaque instant, chaque seconde !
Le temps passe, tisse une toile
La plus fine la batiste
Celle qui s’accroche à l’autre,
Beau lien entre saisons pour l’homme!
Et je pense au Grand Saint Jean-Baptiste
Précurseur offrant l’Amour
Et à vous tous Poètes
En chacun de vos
Vers en lien.
Polymnie2, le 1er Novembre 2016
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