( Pâques sans tisons ! )
Sur une mer déchaînée, écumant
En proie à des sentiments violents
Cette nuit j’ai vogué vers mon île
Bien loin de tous les miasmes de la ville
L’évasion étant l’unique souhait
froide était la mer mais ma peau brûlait
Perdu, sans retrouver mes marques
Surtout ne sachant plus guider ma barque
Dés lors, impuissant, me laissant aller
Voilà que j’ai longtemps, longtemps baigné
Mon cœur et mon esprit dans des eaux troubles
C’est sans issue ma détresse redouble
Naufrage habituel, je n’ai plus d’abri
Autour de moi surnagent des débris
Comme une pieuvre la peur s’insinue
Mais l’envie d’y survivre, elle, diminue !
Éveil nauséeux au petit matin gris
L’île rejoint les souvenirs proscrits
La voilà disparue dans la lumière
Je remets mon cœur en bandoulière
Jan
En proie à des sentiments violents
Cette nuit j’ai vogué vers mon île
Bien loin de tous les miasmes de la ville
L’évasion étant l’unique souhait
froide était la mer mais ma peau brûlait
Perdu, sans retrouver mes marques
Surtout ne sachant plus guider ma barque
Dés lors, impuissant, me laissant aller
Voilà que j’ai longtemps, longtemps baigné
Mon cœur et mon esprit dans des eaux troubles
C’est sans issue ma détresse redouble
Naufrage habituel, je n’ai plus d’abri
Autour de moi surnagent des débris
Comme une pieuvre la peur s’insinue
Mais l’envie d’y survivre, elle, diminue !
Éveil nauséeux au petit matin gris
L’île rejoint les souvenirs proscrits
La voilà disparue dans la lumière
Je remets mon cœur en bandoulière
Jan