Ma petite fille adorée
tu ne sauras jamais ,
quand j’ouvre la porte de ta chambre
et que je te vois ,assise ,
et que tu me regardes ,surprise ,
à quel point mon coeur s’enflamme.
Je regarde tes jolis yeux,
toi, tu me regardes aussi ;
tu ne peux encore me parler,
mais tu me dis ,pourtant, des choses ;
de le savoir , je n’ose ,
tant que tu puisses seulement me dire :
«bonjour ,papa ; je t’aime».
Lorsque je m’approche de toi ,
mon regard se pose sur tes si jolis yeux
si tu savais comme ,alors, je suis heureux .
Tes yeux ronds et merveilleux
purifient mon âme .
Lorsque tu avances ton petit bras
pour ,avec ta menotte ,me caresser la joue,
je deviens de bonheur fou .
Et surtout ,quand tu me souris ;
de toi ,je suis immensément épris .
Je t’ai dans la peau ,je t’ai dans l’âme,
tu ne sauras jamais à quel point je t’aime.
Soudain ,tes yeux se ferment,
je dois te mettre au lit .
Lentement je te pose ,
mais avant de t’endormir ,
écoute vite ce que je veux te dire :
«Quand tu vas rêver ,dans ce monde de fées ,
à un moment, au loin ,tu verras un grand arbre .
Ses fruits seront les plus juteux ;
il t’apportera tout ce que tu veux ;
tu n’auras qu’à le toucher, et faire un voeu.»
Voilà que tu t’es endormie
sache ,ma fille , que cet arbre
que tu vois , dans ton rêve ,
c’est moi , ton papa.
Car mort ou vivant , sans jamais nulle trêve
je serai près de toi ,éternellement
pour te protéger, mon amour.
Car je t’aime tant et tant ,
mon âme t’appartient pour toujours .
Tu es ma vie,
tu es ma petite fille .
Dors tranquillement ma chérie ,
papa veille sur toi , chaque jour .
P.S. : à la fille que je n'ai pas eue .
tu ne sauras jamais ,
quand j’ouvre la porte de ta chambre
et que je te vois ,assise ,
et que tu me regardes ,surprise ,
à quel point mon coeur s’enflamme.
Je regarde tes jolis yeux,
toi, tu me regardes aussi ;
tu ne peux encore me parler,
mais tu me dis ,pourtant, des choses ;
de le savoir , je n’ose ,
tant que tu puisses seulement me dire :
«bonjour ,papa ; je t’aime».
Lorsque je m’approche de toi ,
mon regard se pose sur tes si jolis yeux
si tu savais comme ,alors, je suis heureux .
Tes yeux ronds et merveilleux
purifient mon âme .
Lorsque tu avances ton petit bras
pour ,avec ta menotte ,me caresser la joue,
je deviens de bonheur fou .
Et surtout ,quand tu me souris ;
de toi ,je suis immensément épris .
Je t’ai dans la peau ,je t’ai dans l’âme,
tu ne sauras jamais à quel point je t’aime.
Soudain ,tes yeux se ferment,
je dois te mettre au lit .
Lentement je te pose ,
mais avant de t’endormir ,
écoute vite ce que je veux te dire :
«Quand tu vas rêver ,dans ce monde de fées ,
à un moment, au loin ,tu verras un grand arbre .
Ses fruits seront les plus juteux ;
il t’apportera tout ce que tu veux ;
tu n’auras qu’à le toucher, et faire un voeu.»
Voilà que tu t’es endormie
sache ,ma fille , que cet arbre
que tu vois , dans ton rêve ,
c’est moi , ton papa.
Car mort ou vivant , sans jamais nulle trêve
je serai près de toi ,éternellement
pour te protéger, mon amour.
Car je t’aime tant et tant ,
mon âme t’appartient pour toujours .
Tu es ma vie,
tu es ma petite fille .
Dors tranquillement ma chérie ,
papa veille sur toi , chaque jour .
P.S. : à la fille que je n'ai pas eue .