Complainte d’ Ô tonne !
Saison couronnée de langueur au zeste de verdure,
Toi, automne au port où s’excusent les gazons épars !
Océan de couleurs brûlées, coffre mère nature,
Ta folie conte la mappemonde de nos regards !
Ton souffle d’amour endormi sur raidillon solitaire,
Tu barbouilles notre terre d’accueil encore une fois,
De cette gelée pâlissante sur fond de mélodie en lumière,
L’oiseau de son nid orchestre en sourd dans le bois !
Les vendanges Ô rameaux d’un futur millésime n’expire,
Le frisson du parchemin où plume ne cueille d’attraits,
Tu es l’amidon la feuille envolée perd le sourire,
Sur ciel gris, bleu se signe ton aventure à jamais,
Ton visage cire le toit du monde d’un soupçon de vie,
Ce vent plane de longs jours sur la plaine, le désir évanoui !
Sur la cime de la plus haute sphère, qu’une paupière envie,
Toi ! Dites merveille de biens malheureux dont je n’ai pas joui !
Tu es cette chevelure fauve arborant sa sobre richesse,
Le chant sournois sur nos lèvres séchées par le temps,
Tourbillon frileux de ton existence au clocher d’une messe,
Ta toile délogée sera la renaissance d’un hiver sous-traitant.
LILASYS.......
Saison couronnée de langueur au zeste de verdure,
Toi, automne au port où s’excusent les gazons épars !
Océan de couleurs brûlées, coffre mère nature,
Ta folie conte la mappemonde de nos regards !
Ton souffle d’amour endormi sur raidillon solitaire,
Tu barbouilles notre terre d’accueil encore une fois,
De cette gelée pâlissante sur fond de mélodie en lumière,
L’oiseau de son nid orchestre en sourd dans le bois !
Les vendanges Ô rameaux d’un futur millésime n’expire,
Le frisson du parchemin où plume ne cueille d’attraits,
Tu es l’amidon la feuille envolée perd le sourire,
Sur ciel gris, bleu se signe ton aventure à jamais,
Ton visage cire le toit du monde d’un soupçon de vie,
Ce vent plane de longs jours sur la plaine, le désir évanoui !
Sur la cime de la plus haute sphère, qu’une paupière envie,
Toi ! Dites merveille de biens malheureux dont je n’ai pas joui !
Tu es cette chevelure fauve arborant sa sobre richesse,
Le chant sournois sur nos lèvres séchées par le temps,
Tourbillon frileux de ton existence au clocher d’une messe,
Ta toile délogée sera la renaissance d’un hiver sous-traitant.
LILASYS.......