Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Heureux ceux qui n'ont rien

#1
Heureux ceux qui n’ont rien et disent non à tout
En choisissant le Bien dont la main est l’atout
Heureux qui des cieux bleus attend sa récompense
En sachant que l’argent pas l’a-Dieu* ne compense

*a : privatif
 
#4
Texte très drôle tant les cieux et le détachement du monde qu'il évoque sont en total contradiction avec votre texte profondément terrestre et ancré dans le terroir d'hier ;-) Je serais curieux de savoir comment cette contradiction vous semble pouvoir être résolue ? Par un retour à cette injuste trilogie oratores/bellatores/laboratores qui s'articulerait sous le regard bienveillant d'une tête couronnée et dans le stupre odoriférant d'un lys royal ? Impossible, donc, d'envisager un cheminement entre le Veau d'or et quelque divinité que ce soit ?
?