UN AILLEURS BONHEUR.
J'ai souvent caressé une chimère, un miroir aux alouettes.
Utopique vision d'un ailleurs meilleur et sans heurt.
Fantasme d'un homme usé par une société déshonnête.
Oui, j'ai rêvé d'un ailleurs bonheur orné de splendeurs.
D'ailleurs, le mien serait plutôt une maison dans les bois
Où l'air serait sans cesse parfumé de couleurs sereines
Où la lumière serait plus sincère et l'eau moins aux abois
Où les arbres me protégeraient d'une civilisation en gangrène.
Riche d'un trésor végétal doté de roses séduisantes.
Même le soleil serait surprit à chaque passage dans les environs.
Cheveux de Vénus, Orchidées, Marguerites chatoyantes.
Un magnifique parterre de fleurs s'exhiberait dans mon giron.
Un Renard et son petit me regarde avec insistance, puis s'en va
La queue en panache, l'air un peu vexé, sûrement dû à ma présence.
Hérissons et autres rongeurs passent en revue avec maestria.
Serait-ce un signe de bienvenue ? Ou bien un acte de convergence ?
Je ne me rappelle plus du chemin parcouru pour venir ici
Et c'est tant mieux, pour rien au monde je ne voudrais repartir.
Vivre en osmose avec ce florilège digne d'une sonate de Debussy
Est aussi important que de respirer, aimer et surtout vivre libre.
J'ai souvent caressé une chimère, un miroir aux alouettes.
Utopique vision d'un ailleurs meilleur et sans heurt.
Fantasme d'un homme usé par une société déshonnête.
Oui, j'ai rêvé d'un ailleurs bonheur orné de splendeurs.
D'ailleurs, le mien serait plutôt une maison dans les bois
Où l'air serait sans cesse parfumé de couleurs sereines
Où la lumière serait plus sincère et l'eau moins aux abois
Où les arbres me protégeraient d'une civilisation en gangrène.
Riche d'un trésor végétal doté de roses séduisantes.
Même le soleil serait surprit à chaque passage dans les environs.
Cheveux de Vénus, Orchidées, Marguerites chatoyantes.
Un magnifique parterre de fleurs s'exhiberait dans mon giron.
Un Renard et son petit me regarde avec insistance, puis s'en va
La queue en panache, l'air un peu vexé, sûrement dû à ma présence.
Hérissons et autres rongeurs passent en revue avec maestria.
Serait-ce un signe de bienvenue ? Ou bien un acte de convergence ?
Je ne me rappelle plus du chemin parcouru pour venir ici
Et c'est tant mieux, pour rien au monde je ne voudrais repartir.
Vivre en osmose avec ce florilège digne d'une sonate de Debussy
Est aussi important que de respirer, aimer et surtout vivre libre.
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