Ma petite muse d'hier et d'aujourd'hui,
(pastiche)
Quel réconfort que ces beaux petits vers écrits pour moi,
Ta candeur et mon ironie s'adonnent à deux, à cœur joie,
Oui, je m'amuse de ma muse, comme ça, tout le temps,
Pour une petite risette, gommer ses maux maintenant.
Petite femme au grand cœur qui partage tout, même sa prose,
D'un émoi, d'une larme ou d'un immense délire, tu les poses,
Pas d'écharde dans tes textes, tu narres un point c'est tout,
Notre Lola est si vrai que quelques uns s'en effraient, des fous !
Tout le jour et tous les jours, tu prends soin, jamais ne dévie,
Cette belle au genre unique, certains voudraient te voir dans leur lit,
Mais en rien, ils ne comprennent tes doutes, tu ne peux les chasser,
Tu es leur déesse à ces béni-oui-oui, tous sont bien intéressés.
Mes livres sont le reflet et l'antithèse de beaucoup de tes peurs,
Respectant avant tout ta famille, celle qui fait tout ton bonheur,
Mon partage est un petit pas pour ta gaité, en toute humilité,
Mais pour rire, j'n'ai pas dit humidité pour ta haute félicité.
Une femme, tout bonnement, (pas servante) cherchant l'amour d'une chanceuse,
D'ici, je voudrais t'apporter le réconfort d'une famille unie et heureuse,
Pour changer enfin tes errements et que tu puisses enfin sauter le pont,
Nous sommes éloignés, mais mon amitié est près de vous, moi simple petit luron.
Ma réponse est le reflet de ton texte, qui m'a vraiment touché comme une flamme,
Tu le sais, mon amour est ailleurs, notre réelle amitié est partagée par ma femme,
Lola, mon alliée, ma complice (en un mot), ma copine, enfin quoi, mon AMIE,
Près de moi, bri.. me fait du pied, pour encore soulever nos verres à l'envie.
De mon petit trou (la la itou), je t'embrasse très fort depuis Roquestéron,
Ce petit coin sauvage que tu peux venir voir de près même sans ronds,
Nous pourrons ainsi boire et reboire un bon coup chez Pat(ricia),
Et avec d'autres amis, nous échangerons de grands et vastes rires sans tralala.
(pastiche)
Quel réconfort que ces beaux petits vers écrits pour moi,
Ta candeur et mon ironie s'adonnent à deux, à cœur joie,
Oui, je m'amuse de ma muse, comme ça, tout le temps,
Pour une petite risette, gommer ses maux maintenant.
Petite femme au grand cœur qui partage tout, même sa prose,
D'un émoi, d'une larme ou d'un immense délire, tu les poses,
Pas d'écharde dans tes textes, tu narres un point c'est tout,
Notre Lola est si vrai que quelques uns s'en effraient, des fous !
Tout le jour et tous les jours, tu prends soin, jamais ne dévie,
Cette belle au genre unique, certains voudraient te voir dans leur lit,
Mais en rien, ils ne comprennent tes doutes, tu ne peux les chasser,
Tu es leur déesse à ces béni-oui-oui, tous sont bien intéressés.
Mes livres sont le reflet et l'antithèse de beaucoup de tes peurs,
Respectant avant tout ta famille, celle qui fait tout ton bonheur,
Mon partage est un petit pas pour ta gaité, en toute humilité,
Mais pour rire, j'n'ai pas dit humidité pour ta haute félicité.
Une femme, tout bonnement, (pas servante) cherchant l'amour d'une chanceuse,
D'ici, je voudrais t'apporter le réconfort d'une famille unie et heureuse,
Pour changer enfin tes errements et que tu puisses enfin sauter le pont,
Nous sommes éloignés, mais mon amitié est près de vous, moi simple petit luron.
Ma réponse est le reflet de ton texte, qui m'a vraiment touché comme une flamme,
Tu le sais, mon amour est ailleurs, notre réelle amitié est partagée par ma femme,
Lola, mon alliée, ma complice (en un mot), ma copine, enfin quoi, mon AMIE,
Près de moi, bri.. me fait du pied, pour encore soulever nos verres à l'envie.
De mon petit trou (la la itou), je t'embrasse très fort depuis Roquestéron,
Ce petit coin sauvage que tu peux venir voir de près même sans ronds,
Nous pourrons ainsi boire et reboire un bon coup chez Pat(ricia),
Et avec d'autres amis, nous échangerons de grands et vastes rires sans tralala.