VISIONS.
J'ai vu le soleil pleurer, caché par des nuages jaloux de sa brillance.
J'ai vu le ciel noirci par une migration d'Etourneau, moment intense.
J'ai vu des forêts dévastées, pour nourrir un certain appétit du gain.
J'ai vu des rivières empoisonnées par des menteurs sans lendemain.
J'ai vu des animaux superbes, assassinés, pour la suprématie de l'homme.
J'ai vu de visu des soldats tombés au champ d'horreur, au nom de la race.
J'ai vu des tonnes d'argent versés pour des armes de sang, sans arôme.
J'ai vu de mes yeux vu des enfants broyés sous les coups de la vinasse.
J'ai vu la lumière perdre de sa superbe, maculée de ténèbres.
J'ai vu la paix aussi, qui ne servait au fond qu'à préparer la guerre.
J'ai vu la soif, la faim, l'exclusion, voulu par des nantis.
J'ai vu enfin un peu de bonheur, d'amour et des valeurs dénantis.
Il flotte comme un air de malentendu chez l'être l'humain.
Un parfum d'incompréhension, d'un égoisme à portée de main.
De mes visions coulent des larmes métalliques suintant mes vers.
Mais je ne me suis pas présenté. Je suis la conscience de l'univers
J'ai vu le soleil pleurer, caché par des nuages jaloux de sa brillance.
J'ai vu le ciel noirci par une migration d'Etourneau, moment intense.
J'ai vu des forêts dévastées, pour nourrir un certain appétit du gain.
J'ai vu des rivières empoisonnées par des menteurs sans lendemain.
J'ai vu des animaux superbes, assassinés, pour la suprématie de l'homme.
J'ai vu de visu des soldats tombés au champ d'horreur, au nom de la race.
J'ai vu des tonnes d'argent versés pour des armes de sang, sans arôme.
J'ai vu de mes yeux vu des enfants broyés sous les coups de la vinasse.
J'ai vu la lumière perdre de sa superbe, maculée de ténèbres.
J'ai vu la paix aussi, qui ne servait au fond qu'à préparer la guerre.
J'ai vu la soif, la faim, l'exclusion, voulu par des nantis.
J'ai vu enfin un peu de bonheur, d'amour et des valeurs dénantis.
Il flotte comme un air de malentendu chez l'être l'humain.
Un parfum d'incompréhension, d'un égoisme à portée de main.
De mes visions coulent des larmes métalliques suintant mes vers.
Mais je ne me suis pas présenté. Je suis la conscience de l'univers