Haut troubadour ! (Pastiche)
Dans le goût de ma sœur, dans son écrin fragile,
Elle cache l’inconnu, comme une chef, elle protège,
Cette étrange poétesse à la plume fragile,
Dessine à mon égard ce doux privilège.
Vous recherchez l’élève, son nom y est scellé,
En traduction, mon pâle humour n’est pas un écho novice,
Comme un tennisman qui retourne ses mots barbouillés,
Même seul dans ma nuit sans trêves, je l’annonce.
Elle est ce soleil, chaude, elle caresse mon bagou,
Ce rayon écarlate, majestueux qui fait toute sa grâce,
L’honneur se cache sous son masque qui la noue,
Demain, un ressentiment d'humour remplira son espace.
Je désire le ressentir en toi pour qu'il efface tes doutes,
Qu'il guide enfin tes pas vers de nouveaux miels,
Sans troubler tes sens et tes peines ainsi absoutes,
Je déclinerai enfin tes beaux termes de vermeille.
Un prénom, ma poétesse !
Dans le goût de ma sœur, dans son écrin fragile,
Elle cache l’inconnu, comme une chef, elle protège,
Cette étrange poétesse à la plume fragile,
Dessine à mon égard ce doux privilège.
Vous recherchez l’élève, son nom y est scellé,
En traduction, mon pâle humour n’est pas un écho novice,
Comme un tennisman qui retourne ses mots barbouillés,
Même seul dans ma nuit sans trêves, je l’annonce.
Elle est ce soleil, chaude, elle caresse mon bagou,
Ce rayon écarlate, majestueux qui fait toute sa grâce,
L’honneur se cache sous son masque qui la noue,
Demain, un ressentiment d'humour remplira son espace.
Je désire le ressentir en toi pour qu'il efface tes doutes,
Qu'il guide enfin tes pas vers de nouveaux miels,
Sans troubler tes sens et tes peines ainsi absoutes,
Je déclinerai enfin tes beaux termes de vermeille.
Un prénom, ma poétesse !