La méditerranée
Puis j’observe la mer, la méditerranée.
En sa couleur bleutée envoûtant sa langueur
Sur la vague géante épousant la vigueur
Qui voyage hors saison aux lames d’une année.
Quand le souffle d’Éole illumine une rose
Le soleil méritant vient réchauffer d’un pleur
Dans son gouffre enivré dans la douce chaleur
Qui la comble au printemps d’une métamorphose.
Or le ciel peut nourrir dans mon contentement
Le trouble ravivant le bonheur de l’enfance
Qui radoucit ma vie en bouquet si gourmand.
J’aperçois ici-bas le plaisir d’excellence
Dont le flot peut gêner avec entêtement
Les remous enfouis au cœur de son silence.
Maria-Dolores