Le carnaval va commencer.
Et le mois du carnaval va commencer,
Tout le monde devra être masqué,
Dame du trottoir sera vite agacée,
Quelle soit couverte et non maquée.
On y passera tous, la baguette dans le nez,
Ho ! Bon sang, la petite goutte qui en dit long,
Pour une bonne santé, il faudra y retourner,
Dans la narine où le doigt de leur aiguillon.
Il leur faudra des trottoirs bien plus larges,
Pour des grands écarts, faire cours à l’opéra,
Penser aussi à la gymnastique, sa soulage,
Et mon petit brin de muguet, encore, attendra.
Bah ! Dans mon jardin, j’étais bien chez moi,
Sortir n’est, aujourd’hui, pas un jeu d’enfant,
Les voir côtoyer leurs copains me remplit d’émoi.
Sans coiffeur mon cuir chevelu bien ébouriffant.
Et il nous faudra bien toujours composer,
Avec des pieds de vers désinfecté au gel,
Ça jette un froid, de l’alcool, bien l’arroser.
Pour que tout devienne normal, attendons le dégel.
Luron1er
Et le mois du carnaval va commencer,
Tout le monde devra être masqué,
Dame du trottoir sera vite agacée,
Quelle soit couverte et non maquée.
On y passera tous, la baguette dans le nez,
Ho ! Bon sang, la petite goutte qui en dit long,
Pour une bonne santé, il faudra y retourner,
Dans la narine où le doigt de leur aiguillon.
Il leur faudra des trottoirs bien plus larges,
Pour des grands écarts, faire cours à l’opéra,
Penser aussi à la gymnastique, sa soulage,
Et mon petit brin de muguet, encore, attendra.
Bah ! Dans mon jardin, j’étais bien chez moi,
Sortir n’est, aujourd’hui, pas un jeu d’enfant,
Les voir côtoyer leurs copains me remplit d’émoi.
Sans coiffeur mon cuir chevelu bien ébouriffant.
Et il nous faudra bien toujours composer,
Avec des pieds de vers désinfecté au gel,
Ça jette un froid, de l’alcool, bien l’arroser.
Pour que tout devienne normal, attendons le dégel.
Luron1er