La tristesse
Elle enserre le cœur
D'un étau de douleur
Tout en lacérant l'âme
De sa coupante lame
C'est une infinie peine
Qui à l'esprit s'enchaîne
Pour garder ses pensées
Sombres désespérées
Parfois de son sommeil
Le passé se réveille
Pris de mélancolie
Teintée de nostalgie
Souvent c'est au présent
Que ce déchirement
Plonge dans la souffrance
Le bonheur en errance
Quand la tristesse pose
Sa grisaille morose
Sur le cours de la vie
Le temps heureux blêmit
Le soleil disparaît
La pluie vient larmoyer
En perles de chagrin
Midi soir nuit matin
C'est une lassitude
Ancrée à l'habitude
État de désespoir
Qui fait broyer du noir
Le sourire perdu
Accablé abattu
Le cœur est affligé
Son moral déprimé
Heureusement un jour
Qui pourtant était lourd
Devient tendre et léger
De la joie à la clé
Par ce beau sentiment
Le cœur fou se surprend
De nouveau à sourire
À avoir des désirs
Grâce à un mot merveille
Un rayon de soleil
Un baiser qui le frôle
La tristesse s'envole
***
"La joie"
Elle enserre le cœur
D'un étau de douleur
Tout en lacérant l'âme
De sa coupante lame
C'est une infinie peine
Qui à l'esprit s'enchaîne
Pour garder ses pensées
Sombres désespérées
Parfois de son sommeil
Le passé se réveille
Pris de mélancolie
Teintée de nostalgie
Souvent c'est au présent
Que ce déchirement
Plonge dans la souffrance
Le bonheur en errance
Quand la tristesse pose
Sa grisaille morose
Sur le cours de la vie
Le temps heureux blêmit
Le soleil disparaît
La pluie vient larmoyer
En perles de chagrin
Midi soir nuit matin
C'est une lassitude
Ancrée à l'habitude
État de désespoir
Qui fait broyer du noir
Le sourire perdu
Accablé abattu
Le cœur est affligé
Son moral déprimé
Heureusement un jour
Qui pourtant était lourd
Devient tendre et léger
De la joie à la clé
Par ce beau sentiment
Le cœur fou se surprend
De nouveau à sourire
À avoir des désirs
Grâce à un mot merveille
Un rayon de soleil
Un baiser qui le frôle
La tristesse s'envole
***
"La joie"
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