Vide et isolée
Je suis l'otage de ces quatre murs
Parfois j'agite mes doigts, rêvant de les plier
Les refermés sur moi et me poster vers la côte d'Azur
L'ennui s'insinue
Le bonheur pourtant me sourit
Son charme, je l'ai souvent connu
Et je sais que sa fin ne peut se fondre dans l'oubli
Alors je reste assise là, devant cette page
Dans le noir absolu
Rêvant d'une fuite, d'un voyage
Pour me libérer des chaînes de mes idéaux perdus
Je suis l'otage de ces quatre murs
Parfois j'agite mes doigts, rêvant de les plier
Les refermés sur moi et me poster vers la côte d'Azur
L'ennui s'insinue
Le bonheur pourtant me sourit
Son charme, je l'ai souvent connu
Et je sais que sa fin ne peut se fondre dans l'oubli
Alors je reste assise là, devant cette page
Dans le noir absolu
Rêvant d'une fuite, d'un voyage
Pour me libérer des chaînes de mes idéaux perdus