VOYAGE DE L'AMOUR
Quand j'aperçois au bout de l'horizon,
Son joli visage, à travers les monts,
Ses doux cheveux, forme une belle cascade d'eau,
Emportée par les envols des oiseaux,
Ce visage est celui d'une belle princesse,
Qui, par ses très douces paroles, me caresse,
Soudain, on se retrouve, là, par hasard,
Traversant déserts, brouillards et blizzards.
Sur cette plage, existe son très tendre royaume,
Où, je vis et redeviens un jeune môme,
Puis, on se promène, sur cette immense plage,
Où règne la vie, l'amour, tel un mirage,
Grâce à cet ange, le monde est différent,
Loin de cette violence, de ce monde sanglant,
Je voudrais que ça ne soit pas qu'un rêve,
Je dois me le dire, car le jour se lève,
Je quitte ce rêve, cette très belle hirondelle,
Faisant apparaître dans mon dos, des ailes,
Grâce à elles, je quitte ce monde, me sens bien,
Cette colombe, me fais voyager si loin.
Quand j'aperçois au bout de l'horizon,
Son joli visage, à travers les monts,
Ses doux cheveux, forme une belle cascade d'eau,
Emportée par les envols des oiseaux,
Ce visage est celui d'une belle princesse,
Qui, par ses très douces paroles, me caresse,
Soudain, on se retrouve, là, par hasard,
Traversant déserts, brouillards et blizzards.
Sur cette plage, existe son très tendre royaume,
Où, je vis et redeviens un jeune môme,
Puis, on se promène, sur cette immense plage,
Où règne la vie, l'amour, tel un mirage,
Grâce à cet ange, le monde est différent,
Loin de cette violence, de ce monde sanglant,
Je voudrais que ça ne soit pas qu'un rêve,
Je dois me le dire, car le jour se lève,
Je quitte ce rêve, cette très belle hirondelle,
Faisant apparaître dans mon dos, des ailes,
Grâce à elles, je quitte ce monde, me sens bien,
Cette colombe, me fais voyager si loin.
Ludovic IZAMBARD