Vos pâles demi-lunes sur mon corps en étoile
Acrobate agrippée à mon corps en étoile,
J’aime vous voir grimper sur ma baguette roide :
Vos pâles demi-lunes et leurs courbes lascives
Cachent dans leurs ondules les plis de vos soies vives.
L’étui perlé de votre orchidée que je viens
D’épanou-ir aux notes de mes chants dionysiens
Enveloppe mon vit au fond de vos moiteurs,
Pendant que vos roulis nous plongent en torpeur.
De vos épaules nues jusqu’à votre cambrure
Coulent en flots charnus vos ondes en murmures
Qu’accompagnent mes mains au bas de votre dos.
J’imagine vos seins dérobés à ma vue,
Lors un élan soudain de nos deux corps émus
Nous fait jouir en regain, comme de longs sanglots.
Aubépin des Ardrets
Acrobate agrippée à mon corps en étoile,
J’aime vous voir grimper sur ma baguette roide :
Vos pâles demi-lunes et leurs courbes lascives
Cachent dans leurs ondules les plis de vos soies vives.
L’étui perlé de votre orchidée que je viens
D’épanou-ir aux notes de mes chants dionysiens
Enveloppe mon vit au fond de vos moiteurs,
Pendant que vos roulis nous plongent en torpeur.
De vos épaules nues jusqu’à votre cambrure
Coulent en flots charnus vos ondes en murmures
Qu’accompagnent mes mains au bas de votre dos.
J’imagine vos seins dérobés à ma vue,
Lors un élan soudain de nos deux corps émus
Nous fait jouir en regain, comme de longs sanglots.
Aubépin des Ardrets