Voltaire avait raison
- Auteur de la discussion Vega46
- Date de début
Alors il faudra repartir à la lutte. Fermer les maisons. Partir au combat.
Je fais aujourd'hui parti de ceux qui se disent: touche pas à ma famille c'est tout;
C'est clair que niveau politique, on est bien coincé.
Mais pas d'aujourd'hui, la prochaine fois, on vote extrême, comme ça on pourra tout pêter avec l'aval de tout le monde.
Je fais aujourd'hui parti de ceux qui se disent: touche pas à ma famille c'est tout;
C'est clair que niveau politique, on est bien coincé.
Mais pas d'aujourd'hui, la prochaine fois, on vote extrême, comme ça on pourra tout pêter avec l'aval de tout le monde.
La lutte est continuelle, la souffrance n’est pas acceptable, je rejette les extrêmes cependant j’écoute et malheureusement on se dirrige peut-être vers ce scénario dévastateur.
L’arrogance le mépris, le non respect de la personne humaine amène tôt ou tard à ce type de révolte.
L’écoute au contraire les gestes forts salvateurs au contraire apaisent les esprits qui s’échauffent alors, attention car, comme je me plais à le répéter...
LE DIABLE ATTISE LA SURCHAUFFE
L’arrogance le mépris, le non respect de la personne humaine amène tôt ou tard à ce type de révolte.
L’écoute au contraire les gestes forts salvateurs au contraire apaisent les esprits qui s’échauffent alors, attention car, comme je me plais à le répéter...
LE DIABLE ATTISE LA SURCHAUFFE
Ce fut un gars sympa ce Voltaire... Sans contexte...
Ecrivain de talent. En toute évidence... et j'apprécie beaucoup.
Toutefois...
J'aime ce genre de type qui sait avec brio manipuler les mots et donner leçon
tout en étant esclavagiste sans remords à but exclusivement lucratif.
En sa qualité de voleur il savait donc de quoi parler.
Autant demander à Rousseau ou à Robespierre de défendre les droits des femmes. Gageure !
In fine...
Quand l'Hôpital se fout de la charité....C'est toujours très beau...J'en pleure toujours...de rire...par pure ironie...
Quand la lumière est ternie par la cupidité...Triste est la vérité...
Le philosophe s'égard. Rien de nouveau a l'horizon.
Bon maintenant, restons sérieux, juste un moment...
Il faut savoir que je doute sérieusement que la première citation émise, ici, comme toutes les autres, soit de voltaire.
En effet, bien que la roue fasse sa première apparition vers - 3500 avant notre ère en Mésopotamie, le vélo
entre doucement en notre quotidien qu'a partir de 1817, soit 39 ans après la mort de Voltaire...
Il n'est pas évident que l'on parlait de "Salaire" au XVIIIème siècle car les données historiques et surtout
à cette période sont trop éparses, les modes de rémunérations étaient trop variables en raison des éléments géographiques,
saisonnières et culturelles. Voltaire ne pouvait pas du tout parler de "Salaire". C'est une chose qu'il faut absolument savoir.
Sans approche historique sérieuse d'une époque, par transition sur la notre, l'erreur d'appréciation est alors énorme et compromet
par anachronisme tout jugement.
Il va de même pour la dernière citation que l'on ne peut pas du tout attribuer à Voltaire. Car, en effet, le sens de la politique n'avait pas même
approche qu'en nos temps.
D'autant plus, que sous une monarchie absolutiste où dans les campagnes (97 % de la population) ce mot n'avait aucun sens.
C'est gentil Maurice de notifier, ici, des propos soit disant attribués à Voltaire.
Mais, à mon avis, le bon sens d'analyse mérite toujours réflexion et recul.
Je mets dans le mille que ce couillon de Voltaire n'a, en fait, jamais prononcé ces mots.
Le mieux est de mettre cet extrait "internet" à la poubelle et lire sérieusement Voltaire.
Bon voilà.
Avé
Loïc
Ecrivain de talent. En toute évidence... et j'apprécie beaucoup.
Toutefois...
J'aime ce genre de type qui sait avec brio manipuler les mots et donner leçon
tout en étant esclavagiste sans remords à but exclusivement lucratif.
En sa qualité de voleur il savait donc de quoi parler.
Autant demander à Rousseau ou à Robespierre de défendre les droits des femmes. Gageure !
In fine...
Quand l'Hôpital se fout de la charité....C'est toujours très beau...J'en pleure toujours...de rire...par pure ironie...
Quand la lumière est ternie par la cupidité...Triste est la vérité...
Le philosophe s'égard. Rien de nouveau a l'horizon.
Bon maintenant, restons sérieux, juste un moment...
Il faut savoir que je doute sérieusement que la première citation émise, ici, comme toutes les autres, soit de voltaire.
En effet, bien que la roue fasse sa première apparition vers - 3500 avant notre ère en Mésopotamie, le vélo
entre doucement en notre quotidien qu'a partir de 1817, soit 39 ans après la mort de Voltaire...
Il n'est pas évident que l'on parlait de "Salaire" au XVIIIème siècle car les données historiques et surtout
à cette période sont trop éparses, les modes de rémunérations étaient trop variables en raison des éléments géographiques,
saisonnières et culturelles. Voltaire ne pouvait pas du tout parler de "Salaire". C'est une chose qu'il faut absolument savoir.
Sans approche historique sérieuse d'une époque, par transition sur la notre, l'erreur d'appréciation est alors énorme et compromet
par anachronisme tout jugement.
Il va de même pour la dernière citation que l'on ne peut pas du tout attribuer à Voltaire. Car, en effet, le sens de la politique n'avait pas même
approche qu'en nos temps.
D'autant plus, que sous une monarchie absolutiste où dans les campagnes (97 % de la population) ce mot n'avait aucun sens.
C'est gentil Maurice de notifier, ici, des propos soit disant attribués à Voltaire.
Mais, à mon avis, le bon sens d'analyse mérite toujours réflexion et recul.
Je mets dans le mille que ce couillon de Voltaire n'a, en fait, jamais prononcé ces mots.
Le mieux est de mettre cet extrait "internet" à la poubelle et lire sérieusement Voltaire.
Bon voilà.
Avé
Loïc
Dernière édition:
Bonjour Loïc
Merci pour toutes ces précisions qui je le reconnais ne laissent aucuns doutes sur le fait que ce n’est pas Voltaire qui a écrit ces lignes.
J’en été presque convaincu avant de te lire une amie enseignante à qui je l’ai lu, m’a de suite mis en garde avec un gros doute sur l’auteur.
Mais je trouve que cela colle bien au personnage après tout on peut pourquoi pas faire parler les disparus.
Je n’ai certainement pas suffisamment de culture générale pour vérifier la véracité de tout ce qui se dit sur le net et je me fais souvent avoir.
Par contre j’ai lu et apparemment c’est sérieux que la plume de Molière était Corneille une étude d’un historien.
Mon oncle qui était professeur agrégé de lettres ne faisait jamais référence à Molière mais à Corneille, peut-être as-tu ton idée par rapport à cet état de fait ?.
Molière était un homme de théâtre et cela lui prenait tout son temps Corneille était un génie de la littérature.
Je vais essayer de trouver sur le net une réponse à mon interrogation.
Bonne journée
Avé
Merci pour toutes ces précisions qui je le reconnais ne laissent aucuns doutes sur le fait que ce n’est pas Voltaire qui a écrit ces lignes.
J’en été presque convaincu avant de te lire une amie enseignante à qui je l’ai lu, m’a de suite mis en garde avec un gros doute sur l’auteur.
Mais je trouve que cela colle bien au personnage après tout on peut pourquoi pas faire parler les disparus.
Je n’ai certainement pas suffisamment de culture générale pour vérifier la véracité de tout ce qui se dit sur le net et je me fais souvent avoir.
Par contre j’ai lu et apparemment c’est sérieux que la plume de Molière était Corneille une étude d’un historien.
Mon oncle qui était professeur agrégé de lettres ne faisait jamais référence à Molière mais à Corneille, peut-être as-tu ton idée par rapport à cet état de fait ?.
Molière était un homme de théâtre et cela lui prenait tout son temps Corneille était un génie de la littérature.
Je vais essayer de trouver sur le net une réponse à mon interrogation.
Bonne journée
Avé
Dernière édition:
